Premier Festival national de la chanson patriotique Les travaux du 1er Festival du chant patriotique, organisé par la direction de la culture de Tizi Ouzou, l'APC d'Akbil, l'ONM en collaboration avec les APC des daïras de Aïn El Hammam, Iferhounène, Béni Yenni avec le groupe de scouts et le comité de village d'Aourir Ouzemour, ont pris fin hier avec un recueillement au village Azzouza, terre natale de Abane Ramdane où devait être inauguré le musée portant le nom de cet architecte de la révolution. À travers les activités de ce festival, ayant pour thème “Du patriotisme au nationalisme”, il est rendu un vibrant hommage à deux figures de la chanson patriotique algérienne, notamment Moufdi Zakaria et Farid Ali. L'ouverture officielle a été faite samedi passé à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou, par les autorités locales et nationales suivie d'une conférence animée par des figures de l'ONM du bureau national et de celui de la commune d'Akbil, en plus de témoignages vivants sur la chanson patriotique, d'une exposition et d'un reportage sur la déclaration de la guerre de Libération, fait par la télévision algérienne, l'ENTV. Des visites guidées sur des sites et monuments historiques sont également prévues. Le dimanche, toujours à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou, un concours des groupes de chorales, un lever des couleurs nationales, au monument des martyrs de la ville des Genêts a été organisé. Avant-hier, coïncidant avec le 46e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale, un dépôt de gerbe de fleurs était prévu au monument des martyrs de M'douha, puis suivi d'une conférence sur le chant patriotique et sa relation avec la guerre de Libération et un déplacement au village Azzouza. K. Tighilt Festival national du théâtre comique de Médéa Tomber de rideau, lundi, sur la 5e édition du Festival national Hassan El Hassani par l'octroi du prix de la Grappe d'or à la pièce Hirassa Mouchadada du nouveau théâtre des Issers. Le prix ainsi décerné par le jury présidé par le doyen des comédiens Hadj Ismaïl, a récompensé une pièce jugée conforme aux critères définis par le jury en tant que spectacle complet. La trame de la pièce est basée sur un sujet en relation avec la sécurité, à travers l'utilisation du mot de passe par des gardes d'une enceinte. Le festival a été très riche en spectacles qui ont été présentés, une semaine durant, aussi bien au titre de la participation officielle à la compétition que ceux donnés hors-compétition, dont un nombre important de monologues présentés à travers les différentes cités universitaires et les communes. L'édition qui s'achève, dédiée à Rachid Ksentini, a enregistré un bond qualitatif eu égard au nombre de conférences données et aux ateliers organisés au profit des amateurs de l'art des planches, a déclaré le commissaire du festival. Il annoncera l'inscription par la tutelle d'un théâtre régional qui viendra s'ajouter au théâtre de plein air, structure en voie d'achèvement au pôle urbain de Médéa. M. EL BEY Dixième semaine de la langue italienne La 10e semaine de la langue italienne revient comme chaque année pour promouvoir la langue italienne à travers le monde. Le coup d'envoi de cette manifestation mondiale a été donné le jeudi 28 octobre dernier, et elle a pris fin le 2 novembre 2010. La semaine de la culture italienne dans le monde connaît, à Alger, un programme intense qui veut favoriser la connaissance de la langue et de la culture italiennes auprès de la jeunesse algérienne. La rencontre s'adresse également à tous les enseignants de l'italien, provenant des universités d'Algérie où il existe un département de la langue italienne. Pour la dernière journée, l'Institut culturel italien d'Alger (CCI), accueillera, aujourd'hui, la projection d'un film dramatique suisse du réalisateur Erik Bernasconi intitulé Sinestesia. Durant toute la semaine, de multiples activités culturelles ont été proposées au grand public, des séminaires sur la langue et la littérature italiennes, des conférences d'écrivains algériens d'expression italienne ou encore des lectures en italien à l'université d'Alger. DJAZIA SAFTA