Le président de la chambre administrative de la cour d'Alger, qui doit statuer dans l'affaire opposant le FLN aux “redresseurs”, se serait ouvert, récemment, à ses proches auxquels il se serait plaint d'être l'objet de pressions en vue de prononcer un verdict favorable au mouvement dirigé par Abdelaziz Belkhadem. Selon des sources dignes de foi, ce magistrat aurait accusé un puissant magistrat, dont le nom a été régulièrement cité dans la presse, pour son implication dans cette affaire, d'être à l'origine de ces pressions dans le but de l'amener à invalider le VIIIe congrès du FLN. Il aurait même été sommé de s'exécuter au risque de subir de graves sanctions, selon les mêmes sources.