Octave.biz, spécialiste du e-commerce et de la gestion commerciale, a organisé mercredi soir, au restaurant « La Véranda », une rencontre avec la presse. Elle rentrait rentre dans le cadre de la série d'évènements prévue en Algérie, par société française, tout au long de l'année 2013. Il a été question dans cette rencontre de l'évolution du e-commerce dans le monde, et des perspectives auxquelles aspirent Octave.biz en Algérie. Pour cela, Michel Perrinet, président de la société est revenu sur l'expérience qu'il a eu dans le marché français. Il a ainsi expliqué, schémas à l'appui, les contours d'un secteur, considéré encore « vierge » en Algérie. Cette rencontre rentre ainsi dans le programme des rendez-vous que compte instauré Ictave.biz dans les prochains moins. Au menu de ces conférences, des présentations où différentes thématiques seront abordées. La question de la transposition de l'expérience mondiale du e-commerce est également prévue. Au sujet des perspectives d'implantation du e-commerce en Algérie, Octave.biz a exposé plusieurs exemples « vécues » dans d'autres pays « quand on prend du recul sur l'histoire d'internet, on se rend compte que le schéma se répète dans tous les pays du monde ».(Voir vidéo) La France, étant le modèle que connait le mieux Michel Perrinet était l'exemple sur lequel il s'est le plus attardé « entre 2005 et 2011 le nombre de sites e-commerce a suivi une évolution très forte pour atteindre plus de 100 400 e-commerçants, et il reste du potentiel ». Il a estimé que la « transposition » en Algérie du rythme d'adoption de référence en France serait possible tout en prenant en considération « la population du pays et son stade d'avancement sur l'e-commerce ». Continuant son argumentation, le président d'Octave.biz a précisé qu'« une progression des sites d'activité significative et de sites de forte activité » serait envisageable tout en ajoutant « soit à l'horizon de 2017, entre 4 000 et 5000 sites d'activité significative, et entre 400 et 500 sites de très forte activité ayant un minimum de 11 million d'euros de chiffre d'affaire par an». I.A