Parmi ces infrastructures, le wali citera la réalisation de 2000 places pédagogiques au pôle universitaire de Médéa, de 8000 autres places pédagogiques et d'une résidence universitaire de 4000 lits à Ouzera, à 10 km à l'est du chef-lieu. L'ouverture solennelle de la nouvelle année universitaire, qui a eu lieu récemment au pôle universitaire en présence du corps enseignant, des étudiants et des autorités locales, a été une occasion pour les responsables d'évoquer certaines réalités et les changements auxquels l'université doit rapidement s'adapter. Le recteur de l'université Yahia-Farès de Médéa, Ahmed Zaghdar, a, dans son intervention, insisté sur les conditions du succès du système universitaire, lié, dira-t-il, à l'acquisition des connaissances et du savoir à même de permettre de former les élites et les compétences de demain. Pour ce faire, l'université doit accompagner le mouvement des innovations en matière de technologie et de science, en orientant ses actions vers les domaines les plus pointilleux en utilisant tous les moyens et les outils de recherche et d'enseignement dont elle dispose. L'Etat algérien a inscrit ses efforts dans cette perspective, afin de former les compétences nécessaires au pays par la dotation de l'université de nouveaux moyens et la réalisation de nouvelles infrastructures pédagogiques et scientifiques, dira Brahim Merad, wali de Médéa. Le premier responsable de la wilaya a souligné l'intérêt à accorder à la mutualisation des moyens et à l'ouverture de l'université sur son environnement par des démarches basées sur le partenariat avec les entités économiques et sociales de la région. Dans le sillage de son allocution, le wali donnera quelques indications sur les investissements publics consentis en faveur de l'enseignement supérieur qui sera renforcé prochainement par de nouvelles infrastructures. Parmi ces infrastructures, le wali citera la réalisation de 2000 places pédagogiques au pôle universitaire de Médéa, de 8000 autres places pédagogiques et d'une résidence universitaire de 4000 lits à Ouzera, à 10 km à l'est du chef-lieu. Le professeur M'hand Bekouk, directeur de l'école nationale supérieure de sciences politiques d'Alger, a axé son intervention sur les mutations géopolitiques dans le monde arabe à l'horizon 2030. On rappellera que l'université Yahia-Farès de Médéa, qui n'a cessé de s'agrandir à l'image de plusieurs universités algériennes, compte près de 18 000 étudiants répartis sur 4 facultés. M E B Nom Adresse email