Il a indiqué, au passage, que la création de Taj dans le sillage du "Printemps arabe" visait à contribuer à protéger le pays contre la destruction et le pillage qui le menaçaient. Lors d'un meeting-gala, jeudi à la coupole Mohamed-Boudiaf, le président de Taj, Amar Ghoul, a décliné les contours de l'initiative politique de son parti, visant à "préserver la paix et la stabilité du pays" et à soutenir le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Il a parlé, en effet, à perdre haleine, de son initiative qui vise à impliquer toutes les composantes de la société face aux menaces et à relever les défis relatifs à la paix et à la sécurité, mais aussi ceux économique, social et géostratégique. "Taj tend les bras, à travers son initiative, à tous les partis politiques et à la société civile, sans distinction ni exclusion", a-t-il affirmé, mettant surtout l'accent sur la nécessité de relever le défi commun à l'ensemble de la classe politique et la société civile, à savoir dresser un rempart contre les menaces, tant intérieures qu'extérieures. "Les partis et la société civile doivent s'agréger autour de la direction du pays et des forces de sécurité, dans le but d'organiser la résistance", a-t-il clamé. Amar Ghoul a estimé "nécessaires un rapprochement et une cohésion entre les partis de toutes obédiences pour un objectif suprême : sauvegarder l'Algérie des dangers qui la guettent". "Aujourd'hui encore, l'Algérie est devant de multiples défis, mais elle a une chance d'avoir un président en la personne du président Bouteflika, qui a offert sa jeunesse à la révolution d'Indépendance, et aujourd'hui se sacrifie pour l'édification du pays", a-t-il soutenu. Il a indiqué, au passage, que la création de Taj dans le sillage du "Printemps arabe" visait à contribuer à protéger le pays contre la destruction et le pillage qui le menaçaient. C'est pour cela que Taj, a-t-il indiqué, a brandi le slogan de la fidélité envers le pays, et le restera toujours pour sauvegarder ses acquis. L'ouverture de l'université d'été de Taj a été rehaussée par la présence d'officiels, des membres du gouvernement, à l'instar du conseiller à la présidence de la République, Mohamed Ali Boughazi, et du ministre chargé des Relations avec le Parlement, Tahar Khaoua, et des membres du corps diplomatique accrédités à Alger, dont l'ambassadeur de la Palestine. Il y avait également la présence d'Amar Saâdani, chef de file du FLN, et des représentants du RND, du FFS et du MSP. A. R.