- Le président du gouvernement espagnol, Jose Luis Rodriguez Zapatero : “Nous sommes pour un dialogue constructif entre les civilisations, nous devons être capables d'effacer complètement les préjugés, d'éradiquer l'intolérance, de dépasser les barrières mentales du passé pour édifier un monde meilleur. Nous devons appuyer les efforts de la direction palestinienne pour assurer une paix juste avec Israël”. - Le ministre français des Affaires étrangères, Michel Barnier : “Je veux rappeler le soutien de la France à l'initiative de paix adoptée lors du Sommet arabe de mars 2002 à Beyrouth. Par cette initiative, vos pays avaient fait un pas important en direction de la paix et de la stabilité auxquelles tous les peuples de la région ont droit. Mais la paix au Proche-Orient doit être globale. Nous souhaitons voir les avancées actuelles sur le volet israélo-palestinien complétées par des progrès sur le volet israélo-syrien.” - Le chef de la diplomatie de l'Union européenne Javier Solana : “Il faut réfléchir sur les solutions possibles aux problèmes difficiles de la région du Proche-Orient, profiter de ce moment pour faire avancer le processus de paix globalement. L'Union européenne contribue de la manière la plus forte possible du point de vue politique, économique, pour faire avancer le processus de paix. L'expression à l'ordre du jour dans les années qui viennent, c'est la coopération pas la confrontation. Les relations entre l'UE et la Ligue arabe sont très étroites, très constructives, au Caire, ici, dans tous les pays de la région.” - Le vice-président du Conseil italien, Marco Follini : “La démocratie ne peut certes être imposée, mais elle peut être semée, favorisée, promue. En un mot, interprétée et partagée. Le progrès vers la démocratie ne peut faire abstraction de la force de la tradition, ni du consensus au sens du partage des choix. Mais le rendez-vous avec la démocratie ne saurait être esquivé.” R. N./Agences