BNP Paribas El-Djazaïr a investi 160 milliards de dinars dans l'économie algérienne en 15 ans d'existence et est devenue une des premières banques privées en Algérie. C'est ce que M. Youcef Ghoula, directeur général adjoint de la banque, a déclaré hier à Liberté en marge de la conférence de presse animée à Oran à l'occasion des 10 ans de l'Académie des PME organisée par BNP Paribas El-Djazaïr. De plus, la banque dispose aujourd'hui d'un réseau de 70 agences, employant quelque 1 500 collaborateurs à travers le territoire national. Mais surtout, ont souligné les responsables qui ont animé la conférence de presse, c'est une banque qui a réussi à fidéliser 4 000 entreprises et 230 000 particuliers grâce à la "stratégie de la durée" et des services de qualité qui la distinguent des autres établissements financiers. "BNP Paribas El-Djazaïr a choisi de travailler sur la durée et de contribuer au développement de l'économie algérienne", ont-ils précisé en faisant écho aux assurances de François-Edouard Drion, ancien directeur général de la banque, qui déclarait en 2005 déjà que "BNP Paribas El-Djazaïr accompagnait ses clients dans la durée". BNP Paribas El-Djazaïr assure également un service personnalisé, propose un financement des professionnels (leasing, crédit revolving) et offre une variété de crédits aux particuliers (crédit immo jeunes, crédit bonifié, crédit travaux sans hypothèque...). Quant à l'Académie des PME — espace de rencontre entre responsables de la banque et PME ou potentiels clients — les responsables de BNP Paribas El-Djazaïr ont annoncé avoir animé 38 sessions à travers dix wilayas, ce qui a permis à la banque de saisir les différentes contraintes auxquelles les PME sont confrontées. Enfin, la banque annonce l'inauguration pour fin 2017 à Oran d'une agence digitale comparable à celle ouverte en septembre dernier à Alger. Un nouvel espace en libre-service inédit qui permettra aux clients la recharge téléphonique mobile, le changement de code de la carte CIB, l'édition gratuite d'un mini relevé de compte ou encore le dépôt de chèque. S. Ould Ali