“Suite à l'intervention de l'ex-international Rabah Madjer, j'ai été désagréablement surpris par la teneur du chapitre qui me concernait. En effet, mon ex-coéquipier Rabah Madjer, que j'ai toujours considéré comme un ami, insinue que le président de la FAF m'a fait intégrer au staff technique de l'EN juste pour l'embêter. Cela veut-il dire que je suis un incompétent ? Ou Madjer voulait-il dire autre chose ? Pour ma part, je suis reconnaissant au président de la FAF, M. Raouraoua, de m'avoir choisi pour assister mon ami Fergani. D'ailleurs, c'est le seul président de la FAF qui a reconnu mes mérites depuis que j'ai mis fin à ma carrière de joueur en 1998, l'année où les plus hautes autorités de l'Etat m'ont fait effectuer un stage d'entraîneur de haut niveau en Allemagne sous l'égide de la FIFA. Le président de la FAF m'a engagé en qualité d'entraîneur adjoint non pas par compassion ou par amitié, mais parce que j'avais le diplôme et les compétences nécessaires pour prétendre à un tel poste. Je rappelle à Madjer qu'il a été désigné deux fois à la tête de l'EN et qu'il a toujours refusé à ce que je travaille avec lui, même quand une haute autorité de l'Etat le lui avait suggéré. Je l'ai su, et par courtoisie et dans l'intérêt du pays, je me suis tu. Ça n'a pas été ton cas ! Si Madjer, que je continue à considérer comme un ami, a un problème à régler avec le BF de la FAF, qu'il n'utilise plus Lakhdar Belloumi.”