Après la sortie de l'arbitre camerounais Alioum-Alioum à propos de la polémique sur l'annulation du penalty sifflé pour le compte du Sénégal contre l'Algérie lors de la finale de la Coupe d'Afrique des nations (CAN-2019), c'est au tour du président de la Confédération africaine de football (CAF), Ahmad Ahmad, d'enterrer définitivement les soupçons. "Avant la CAN, seuls quatre arbitres africains étaient aptes à faire usage de l'assistance vidéo. Aujourd'hui, ils sont seize. Mieux, deux arbitres européens nous ont assistés durant cette CAN. Lors de la finale, le grand patron de l'arbitrage à la Fifa était présent. Comme quoi, il faut s'entraider pour maîtriser cet outil. Concernant les divergences de vue sur son utilisation, c'est tout à fait normal. Mais, avec la VAR, je trouve qu'on ne peut que rendre justice si on prend comme exemple ce penalty que l'arbitre a failli accorder au Sénégal", a déclaré au quotidien Libération.