Malgré la note de service diffusée par le président-directeur général du groupe Eriad de Sétif, en date du 5 mai 2005 (n°260/P-DG/1248/806/05) et adressée aux 11 filières du groupe, laquelle stipule que les crédits commerciaux accordés aux clients n'excèdent pas 250 millions de centimes, deux filières, à savoir les Moulins du Hodna et des Zibans ont fait fi des directives. Mieux, les créances nées du 31décembre 2004 au 31 octobre 2005 totalisent un pactole en chèques impayés de plus de 12 milliards de centimes et de plus de 12 autres milliards de centimes à la banque mère qui atermoie et escamote les chèques impayés, dont nous détenons des copies. Ce scandale ne semble pas, outre mesure, inquiéter la tutelle basée à Alger.