BECHAR Crime dans une maison de tolérance La ville de Béchar a connu une fin d'année marquée par une sanglante tragédie. En effet, une femme de 44 ans a été lâchement assassinée par un criminel. L'incident s'est déroulé samedi dernier vers 15h30, dans une maison de tolérance du centre-ville où la victime et ses amies pratiquaient le plus vieux métier du monde. Selon des sources sûres, la victime a reçu plusieurs coups de couteau. Elle décédera avant son évacuation vers l'hôpital. Après son forfait, l'agresseur s'est volatilisé à travers les ruelles du quartier. La mort de cette femme a jeté un grand émoi parmi le voisinage qui s'est habitué au calme et à la sérénité. Une enquête a été ouverte par la police judiciaire afin d'identifier et de retrouver le criminel. Il est à rappeler que les habitants du centre-ville ne cessent de vivre le calvaire. Ils constatent que l'établissement implanté dans leur quartier, depuis plus de deux décennies, a transformé leur cité en un lieu où règnent les plus indescriptibles brouhahas. Commerçants de BECHAR Journées de sensibilisation Les responsables de la direction de la concurrence et des prix de la wilaya de Béchar ont clos leur série de tournées d'explication et de sensibilisation des commerçants et des opérateurs privés sur les missions et attributions de la chambre du commerce et d'industrie. La dernière journée a été tenue à la maison de la culture de Béchar en présence du directeur de la DCP, du directeur et des présidents de la chambre du commerce “Saoura”. Lors de son intervention, le premier responsable de la DCP a rappelé les conditions d'éligibilité pour l'élection des membres de la Chambre de commerce. Cette dernière ne compte hélas qu'une centaine d'adhérents sur les milliers de commerçants légaux existants. Cette sensibilisation se veut un moyen de donner un second souffle à la Chambre de commerce pour lui permettre de jouer pleinement son rôle. RACHID ROUKBI Commune de MOSTAGANEM Le P/APC claque la porte Sommé par le wali d'afficher la liste des heureux bénéficiaires de logements de fonction, le P/APC de Mostaganem a préféré temporiser pour ne pas tomber dans une situation embarrassante. D'aucuns n'ignorent pas que cette opération est suivie automatiquement d'émeutes que les non-bénéficiaires provoquent pour exprimer leur colère. Cette temporisation n'a pas été du goût du chef de daïra qui a décidé de saisir les vice-présidents de cette commune pour procéder en toute urgence à l'affichage. Une décision que le P/APC de la commune de la Dahra n'a pu avaliser en raison de ses craintes. Il a donc préféré rendre le tablier pour ne pas être la cible des contestataires. M. M.