C'est une situation pour le moins incongrue que la commune de Chemini est en train de vivre. à l'issue des dernières élections partielles, un président a été élu. Mais à peine élu, il a été destitué le jour même par les 2/3 de l'assemblée, conformément à l'article 55 du code communal. Depuis, l'APC est dans un état de blocage et les élus FLN, RCD, Indépendants qui constituent la majorité, ne cessent d'interpeller le wali de Béjaïa et le chef de daïra pour rendre effective cette destitution et procéder à la mise en place d'un nouvel exécutif.