L'école fondamentale Dehan-Saâd et ses logements d'accompagnement réalisés à Aïn Makhlouf, dans le cadre d'un concours définitif, en préfabriqué et pour une durée de vie de 10 ans, largement dépassée d'ailleurs, ne cesse d'inquiéter les enseignants y résidant. La cause en est l'état de dégradation très avancé constaté. La daïra, après avoir saisi le CTC et procédé à une expertise, a proposé aux locataires, lesquels ne paient pas de loyer, un terrain et une construction dans le cadre du logement participatif, chose qui ne semble pas arranger les concernés, puisqu'ils ont refusé. Pour rappel, Aïn Larbi, commune relevant de la même daïra, a bénéficié cette année d'un établissement de remplacement pour son CEM, lequel connaît la même situation que celle de Dehan-Saâd. Malheureusement pour ce dernier, rien n'a encore été fait. Quant aux locataires des logements du CEM de Aïn Larbi, contrairement à leurs collègues de Aïn Makhlouf, on leur a proposé des logements location-vente. N. Benassam