La Gendarmerie nationale compte instaurer à partir de l'année en cours des prix décernés aux journalistes ayant contribué par leurs écrits à informer, mais aussi à sensibiliser l'opinion publique sur les activités de ce corps de sécurité. Dans ce cadre, une cérémonie a été organisée au siège du commandement de la gendarmerie lors de laquelle le journaliste de Liberté, Ali Farès, a obtenu le prix du meilleur reportage sur la délinquance juvénile intitulé “Nos écoles en danger”. Les trois autres journalistes récompensés sont : Radia Zerrouki de la Nouvelle République (meilleur article sur la criminalité), Neïla Berrahal du quotidien Echourouk pour son reportage sur les métaux ferreux et non ferreux et Samia Mansouri d'El Bilad pour son travail sur l'empreinte digitale automatisée (système Afis).