Batna vingt ans de prison pour un cultivateur De cannabis La cour de Batna a condamné, récemment, un cultivateur de cannabis à vingt ans de prison ferme. L'incriminé, âgé de 58 ans, plantait du cannabis dans la cour de sa maison située à Tabeguarte, commune de Ouled Si Slimane, dans la wilaya de Batna. Les éléments de la gendarmerie, qui ont effectué une perquisition à son domicile, en octobre 2006, ont, en effet, découvert 48 arbrisseaux de cannabis. F. Lamia Décharges sauvages d'oum el bouaghi une menace permanente En dépit des efforts consentis par l'Etat, la wilaya d'Oum El Bouaghi demeure très vulnérable aux méfaits de la pollution puisqu'elle comptabilise 27 décharges sauvages. En effet, 8 400 tonnes de déchets solides sont enregistrés chaque année, soit 250 tonnes/jour, en plus de 40 millions de mètres cubes de déchets liquides qui continuent à se déverser annuellement dans les oueds, selon une source de la direction de l'environnement. Certains propriétaires de terres agricoles, totalement inconscients de l'impact négatif des oueds pollués, n'hésitent pas à irriguer leurs champs avec les eaux usées. Ce phénomène est constaté au niveau des plaines de plusieurs localités telles F'kirina et Ksar S'bahi. Dans les grands centres urbains, à l'instar d'Aïn Beïda, une zone à forte densité de population qui ne cesse de croître avec une augmentation proportionnelle du volume des déchets, notamment hospitaliers, il est enregistré plus de 100 tonnes/jour. En plus du déversement du collecteur principal de la ville dans la plaine de F'kirina, de nombreux déchets de toutes sortes sont jetés dans la forêt urbaine Hamlaoui. À Ksar S'bahi, le collecteur principal se déverse sur les terres d'une ferme-pilote, polluant ainsi 500 hectares, et la situation est exacerbée par l'irrigation avec des eaux usées. K. MessaÂd Commune émir abdelkader (jijel) Les habitants des cités bouhamdoune et berkouka réclament le gaz Les habitants des cités Bouhamdoune et Berkouka, groupement d'habitations Tassoust dans la commune Emir Abdelkader, expriment leur colère depuis qu'ils ont appris leur non-raccordement au réseau de gaz de ville. Ils font appel aux autorités concernées pour voir leurs maisons alimentées par le précieux gaz de ville, à l'instar des autres villages. Les habitants des deux cités, qui comptent plus de 10 000 âmes, s'interrogent sur les causes de ce qu'ils qualifient de marginalisation alors que les conduites du réseau, en cours de réalisation, passent à 200 m de leurs foyers. Les habitants disent qu'ils vivent le calvaire quotidiennement pour s'alimenter en gaz butane, notamment durant la saison hivernale où la demande des fameuses bonbonnes de gaz est très importante. M. Bouchama