L'université Ferhat-Abbas de Sétif abrite, depuis avant-hier, et ce, jusqu'au 13 mars, les travaux du Congrès international sur “le miracle scientifique dans le Coran et la sunna” qu'organise la commission internationale sur les signes scientifiques dans le Coran et la sunna (CISSCS), une organisation mondiale créée en septembre 1982, à l'issue de la 37e assemblée générale de la ligue du monde islamique (LMI). C'est en présence du Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, et du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Abdellah Ghlamallah, qu'a eu lieu, avant-hier, la cérémonie d'ouverture officielle de ce séminaire international, placé sous le haut patronage du président de la République et dont les travaux se déroulent au 2e pôle universitaire El-Baz de Sétif. Intervenant dans un arabe purement académique, le Chef du gouvernement a tenu à mettre en exergue le rapport existant entre les recherches scientifiques et la vie spirituelle, affirmant que “bon nombre de chercheurs et de savants ont fini par comprendre que leurs prouesses et inventions existent bel et bien dans le Coran”. Avant d'ajouter que “l'Islam est une religion moderne qui ne tolère aucune forme de violence ou d'extrémisme”. Pour Abdelaziz Belkhadem, qui s'est longuement étalé sur el-eadjaz coranique (miracles du Coran), “servir Dieu et son Prophète est la meilleure mission que l'homme puisse accomplir dans sa vie”. KAMEL Ouhnia