évacuation des habitants du bardo constantine) 140 milliards pour les ex-propriétaires La deuxième tranche de l'évacuation des habitants du Bardo ne sera entamée qu'après l'achèvement de l'opération du recensement de la population. C'est ce qu'a annoncé le wali, lors de la visite de travail effectuée dans la daïra de Constantine. Selon le premier responsable de la wilaya, pas moins de 140 milliards de centimes ont été débloqués pour couvrir le dédommagement des propriétaires. Ainsi, plusieurs solutions ont été proposées à ces derniers pour les convaincre de partir. “Ceux qui ne sont pas satisfaits du dédommagement acquis peuvent se présenter encore une fois devant la commission de wilaya en charge de ce dossier. Si le dédommagement n'a pas été revu, ils n'ont qu'à saisir la justice”, a précisé le même responsable. Il est à signaler que ces déclarations n'ont pas été du goût de certains propriétaires. Ces derniers, qui se sont regroupés, ont créé une association pour défendre leurs droits. Radia M. A. tamalous cinq habitations illicites démolies L'APC de Tamalous a sollicité la force publique pour la démolition de cinq habitations construites illicitement au niveau des bourgades de Saïd-Mira et Ahmed-Salem qui longent la RN85 qui relie la daïra de Tamalous à Collo. Cependant, la mobilisation des éléménts de la gendarmerie du groupement d'intervention de Emjez Edchiche, qui ont été dépêchés pour sécuriser cette opération de force, n'a à aucun moment intervenu car les familles ont préféré quitter les lieux avant leur arrivée. A. B. sans wali depuis octobre 2006 le statu quo perdure à el-tarf El Tarf est sans wali depuis l'incarcération de ce dernier le 28 octobre 2006. Soit au moins 16 mois maintenant. Plusieurs affaires de citoyens restent alors en suspend. Certains citoyens ne savent plus à quel saint se vouer pour les régler. Par ailleurs, on apprend que le développent local se fait à la lenteur d'une fourmi. La société civile, les associations ainsi que nombre de responsables locaux attendent avec impatience un chef d'exécutif ou la confirmation de la secrétaire générale qui assume les mêmes fonctions depuis un an à la tête de cette wilaya laissée à la traîne en dépit des atouts dont elle dispose dans les domaines agricole, touristique, forestier, etc. De leur part, les citoyens de cette contrée lancent un appel pressant pour qu'ils aient un wali afin de pouvoir lancer davantage la machine de développement grippée et dans le but que cette wilaya se hisse au rang de ses semblables. Créée en 1985 à la faveur du dernier découpage, la wilaya et malgré la consommation de millions de dinars en projets ne semble pas avoir progressé d'un iota en comparaison avec les autres wilayas ayant été hissées au même rang en 1985. Les caisses des assemblées communales sont bourrées d'argent, nous disent des responsables, parce que le développement au niveau des communes n'a pas eu lieu malgré la bonne manne financière. Plusieurs projets n'ont pas connu le clic du lancement. El Tarf est la seconde wilaya du pays à connaître la même situation après Blida, la ville des Roses. Tahar B.