MEDEA Portes ouvertes sur la copropriété La gestion des parties communes et privatives des ensembles d'habitations, appartenant à l'Etat et aux OPGI incombe principalement aux copropriétaires. C'est du moins ce qui ressort des explications fournies à l'occasion des portes ouvertes organisées par l'OPGI de la wilaya de Médéa, qui ont surtout axé sur la vulgarisation des textes afférents au régime de la copropriété. Au cours des premières journées qui se sont tenues au chef-lieu de wilaya, du 13 au 15 mai, et qui seront suivies par d'autres journées à travers les plus importantes agglomérations, les journées ont été consacrées à mieux expliciter les objectifs en matière de copropriété des parties communes et privatives en ce qui concerne la destination et les conditions de jouissance qui s'y rattachent. L'utilisation des parties communes peut être mieux assurée par le biais des organes de la copropriété, qui ont pour rôle de veiller à l'entretien et à la préservation de ces parties. Gérant un parc immobilier de plus de 30 450 logements, soit 535 cités d'habitations, l'OPGI de Médéa a mené des efforts tous azimuts afin de mettre en place ces organes nécessaires à la gestion des différentes parties du bâti ainsi qu'à la préservation des autres dépendances, des espaces verts, de l'hygiène des lieux, etc. Ce qui, dit-on, a requis la mise en œuvre d'une démarche à même de permettre d'impliquer davantage les acquéreurs et les locataires en vue d'une meilleure organisation de la vie communautaire. Ce qui a induit la programmation de plusieurs actions de réhabilitations des habitations dont le financement a été réalisé dans le cadre d'un fonds spécial destiné à cet effet. Ainsi, une première tranche de travaux de réhabilitation a déjà touché plus de 1 800 logements disséminés à travers plusieurs villes, alors qu'une autre tranche devant concerner quelque 2 600 autres logements sera bientôt entreprise. M. EL BEY COUR DE DJELFA 62 affaires au menu de la session criminelle Ce sont pas moins de 161 accusés cités dans 62 affaires qu'aura à traiter, cette semaine, la session criminelle ordinaire de la cour de Djelfa. 53 personnes impliquées sont en détention, 15 en état de fuite alors que 39 autres sont en liberté provisoire. Les délits de dilapidation de biens publics et de fraude fiscale viennent en pôle position avec 39 affaires, tandis que 14 affaires sont liées à association de malfaiteurs et au vol caractérisé. Par ailleurs, 6 affaires d'homicide et de tentative de meurtre sont au menu de cette même session, alors qu'elle aura à trancher sur 3 affaires inscrites au chapitre du soutien au terrorisme et un seul cas de viol. S. OUAHMED