Encore une fois et en dépit de son souhait de prendre part aux travaux de la tripartite, le Club des Entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIMI), dont le siège est à Blida, s'est vu ignoré. Ce qu'il l'a amené à s'interroger sur sa non-invitation aux côtés des autres formations du patronat. «Sans doute par le fait que nous n'avons pas de siège à Alger, on ne nous appelle pas. Or, la région où notre siège existe est amplement connue pour ses capacités managériales, économiques et sociales», a indiqué le président du CEIMI, Abdelkader Aggoun, qui a affirmé que les problèmes que vit son association sont souvent pertinents. Son club aurait sollicité, en juin dernier, le chef du gouvernement afin qu'il puisse prendre part aux travaux de la prochaine tripartite fixée pour le 29 septembre, attend toujours une réponse qui tarde à parvenir. Paradoxalement, a-t-il indiqué, «nous participons à l'enrichissement de plusieurs dossiers, mais pas à la tripartite, alors que notre association qui regroupe plus de 735 adhérents est représentative au plan national».