Après la Syrie, où ils ne semblent plus apprécier leurs «randonnées touristiques», les djihadistes de sa majesté sont en train de quitter la Syrie via les frontières avec la Turquie voisine, rapporté le fameux «canard» de propagande anti syrienne, l'Observatoire syrien des droits de l'homme basé en Grande-Bretagne. Après la Syrie, où ils ne semblent plus apprécier leurs «randonnées touristiques», les djihadistes de sa majesté sont en train de quitter la Syrie via les frontières avec la Turquie voisine, rapporté le fameux «canard» de propagande anti syrienne, l'Observatoire syrien des droits de l'homme basé en Grande-Bretagne. Et pourquoi donc ? La raison de ce retrait reste vague, selon l'observatoire, citant un combattant qui déclarait que ses camarades «ont été retirés de Syrie pour rejoindre les djihadistes au Mali». Serait-ce sur ordre de leurs commanditaires qataris ? Pour ce qui est des moyens d'infiltration, les Airbus qataris sous bannière de la Croix-Rouge s'en chargeront. Ça commence à chauffer ! Apparemment, la guerre au Mali entre dans une nouvelle phase. Les événements prennent une nouvelle tournure avec notamment les attentats à la voiture piégée. Et ce ne sont pas les propos de François Hollande qui vont conforter l'opinion sur la durée de cette guerre. Le bal a donc commencé avec l'explosion d'un véhicule piégé à Kidal (extrême nord-est du Mali), ville où des troupes françaises sont présentes. Bilan : sept morts et onze blessés. Un attentat revendiqué par le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), un groupe islamiste armé qui a occupé pendant plus de neuf mois de grandes villes du Nord malien. Ce mouvement a également annoncé que la saga ne fait que commencer. Décidément, Hollande et ses acolytes ne sont pas prêts de sortir d'un nouveau bourbier. Ça chauffe également en Egypte L'armée égyptienne, semble-t-il, commence à perdre patience. Selon les messages qui font la Une des comptes Facebook et Twitter, l'armée égyptienne serait sujette à des attaques répétées de la part de responsables des Frères musulmans au pouvoir. C'est par la voix de son porte-parole que l'armée a lancé un message sans ambages aux Frères musulmans, dont certains membres ont été jusqu'à accuser les militaires d'être derrière l'opération terroriste de Rafah, perpétrée le mois de ramadhan dernier et qui avait coûté la vie à 16 soldats. «Ces allégations mensongères du dirigeant islamiste Ali Abdelfattah visent à égratigner l'image de l'armée auprès des citoyens (égyptiens) pour les pousser à se révolter contre elle, ce qui arrangerait les affaires des Frères musulmans» dont la cote est en baisse depuis que Mohamed Morsi a été élu à la tête du pays, rapporte le site algeriepatriotique. Le doute américain Deux sénateurs américains fraîchement rentrés du Mali ont appelé lundi la France à rester engagée militairement au Mali au-delà de mars, vu l'impréparation des contingents africains appelés à prendre la relève. des propos qui confortent notamment les appréhensions de certains observateurs quant à la durée de cette guerre qui risque de s'éterniser à l'image de celle d'Irak. En d'autres termes, les Africains ne semblent pas aptes à s'assumer.