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La signature officielle de l'accord est une «motivation supplémentaire» pour parvenir à la paix
Publié dans La Nouvelle République le 22 - 05 - 2015

La signature officielle de l'accord de paix et de la réconciliation vendredi à Bamako, issu du processus d'Alger, par le gouvernement malien et les mouvements politico-militaires du Nord-Mali est une «motivation supplémentaire pour la réalisation des vastes chantiers» pour le rétablissement de la paix et la stabilité dans ce pays, a indiqué le ministre des Affaires étrangères algérien, Ramtane Lamamra.
«C'est une motivation supplémentaire pour aller vers la réalisation de vastes chantiers qui sont à présent ouverts», a déclaré M. Lamamra au terme de la signature de l'accord de paix. Le chef de la diplomatie algérienne a ajouté qu'il fallait «maintenant travailler de concert avec toutes les parties pour la concrétisation sur le terrain des objectifs auxquels nous croyons». L'accord de paix et de réconciliation au Mali a été signé vendredi à Bamako par les parties maliennes au dialogue pour le règlement de la crise dans le nord du pays. Le document a été signé par le représentant du gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d'Alger et par l'équipe de la médiation internationale conduite par l'Algérie. Deux composantes sur cinq que compte la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA), à savoir la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA, dissident), la CM-FPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance II) ont également signé l'accord. Le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (dissident), autre composante de la CMA avaient quant à eux paraphé jeudi à Alger l'accord de paix et de la réconciliation. La Plateforme d'Alger signataire de l'accord de paix et de la réconciliation est composée du Mouvement arabe de l'Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA), la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR). L'équipe de médiation, dont l'Algérie est le chef de file, comprend la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), l'Union africaine (UA), les Nations unies, l'Union européenne (UE) et l'Organisation de la Coopération islamique (OCI), le Burkina Faso, la Mauritanie, le Niger et le Tchad. L'accord de paix et de réconciliation au Mali signé vendredi à Bamako a été obtenu après cinq rounds de dialogue, engagé en juillet 2014 sous la conduite de la médiation internationale. La cérémonie de la signature s'est déroulée en présence notamment du président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de chefs d'Etat africains et des personnalités internationales. Une signature historique du processus d'Alger Les parties maliennes, gouvernement et groupes politico-militaires du Nord, ont signé vendredi, lors d'une cérémonie à Bamako, l'Accord de paix et de réconciliation au Mali, issu du processus d'Alger en vue de mettre fin à la crise dans ce pays. La cérémonie de signature s'est déroulée dans l'après-midi au Centre international de conférences de la capitale malienne, en présence de plusieurs chefs d'Etat et de délégations ainsi que d'organisations internationales. Le président de la République Abdelaziz Bouteflika était représenté par le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, accompagné du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. Les Nations unies sont représentées par Hervé Ladsous, le chef du département des opérations de maintien de la paix. Après les discours des chefs d'Etat et chefs de délégation, la cérémonie a pris fin par l'intervention du chef de l'Etat, Ibrahim Boubacar Keïta. La signature de l'accord intervient au lendemain du paraphe Alger du même accord par la Coordination des mouvements Azawad (CMA). Le document avait été déjà paraphé le 1er mars dernier par le gouvernement et les mouvements engagés dans la Plateforme d'Alger, à savoir le Mouvement arabe de l'Azawad (MAA, dissident), la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA) et la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR). Les Maliens tournent une nouvelle page de leur histoire Les Maliens ont tourné une nouvelle page de leur histoire après la signature vendredi à Bamako par le gouvernement et les groupes politico-militaires du nord de l'accord de paix et de réconciliation au Mali, issu du processus d'Alger, pour instaurer une paix durable et juste qui ouvrira la voie à la stabilité et au développement. Le document a été signé par le représentant du gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d'Alger et par l'équipe de la médiation internationale conduite par l'Algérie. Deux composantes sur cinq que compte la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA), à savoir la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA), la CM-FPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance) ont également signé l'accord. La cérémonie de la signature s'est déroulée en présence notamment du président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de chefs d'Etat africains et des personnalités internationales. La signature de cet accord est la concrétisation d'un long et laborieux processus de discussions lancé à Alger, sous l'égide d'une équipe de médiation internationale conduite par l'Algérie qui n'a ménagé aucun effort pour réunir les Maliens autour de la table de négociations. Obtenu après cinq rounds de dialogue, cet accord a impliqué toutes les parties prenantes maliennes, le gouvernement, les mouvements politico-militaires du nord ainsi que la société civile.

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