La JSM Tiaret est toujours sans entraîneur après le refus de Benamar de poursuivre sa mission alors qu'il était derrière l'accession de l'équipe en division nationale amateur (Gr. Ouest) à l'issue de l'exercice 2017-2018, a-t-on appris de ce club. Toutes les tentatives des dirigeants de convaincre ce technicien à revoir sa position ont échoué, indique-t-on, poursuivant que l'intéressé s'est montré néanmoins disponible à occuper le poste de directeur technique des catégories jeunes.Face à cette situation, des contacts sont entrepris actuellement avec Osmane et Khelladi pour confier à l'un d'entre eux la barre technique d'Ezzarga, assure-t-on de même source.La direction de la JSMT, à sa tête le président Feghouli, qui vient d'être élu aux commandes du club sportif amateur (CSA) après avoir dirigé le directoire ayant géré cette formation la saison passée, espère conclure avec un nouveau coach dans les jours à venir. La reprise des entraînements étant prévue pour le 20 juillet en cours. En attendant, l'opération de recrutement poursuit son chemin, mais dans la foulée, cette démarche suscite des critiques. Les proches du club estiment, en effet, qu'il aurait été mieux indiqué d'engager d'abord un nouvel entraîneur pour l'associer à cette opération. Par ailleurs, les travaux de rénovation du grand stade de la ville, Kaïd-Ahmed se poursuivent toujours. Il est même à écarter qu'ils prennent fin avant le début de la nouvelle saison.Du coup, la JSMT sera appelée à accueillir de nouveau ses adversaires sur le terrain du stade communal qui fera bientôt l'objet d'une visite de la commission d'audit des stades. A la JSMT, l'on garde toutefois l'espoir de revenir au stade Kaïd-Ahmed au milieu du nouvel exercice, dont le coup d'envoi est programmé pour le 5 septembre prochain. Alors qu'il était doté d'une pelouse en gazon naturel, le stade en question, fermé depuis plus de deux années, va être couvert d'une pelouse synthétique. D'autres travaux de réaménagement sont également en cours au niveau de cette infrastructure, à l'image de la pose de sièges dans les tribunes qui peuvent accueillir jusqu'à 30.000 spectateurs.