Victime de la hogra de la part du procureur-adjoint (tribunal de Dar El Beïda) et de la «issaba» avec complicité de toutes les parties sont intervenues, Monsieur le Président, j'ai voté pour vous, je vous félicite pour tout le travail que vous avez accompli, je vous souhaite longue vie et une bonne santé. Monsieur le ministre de la Justice et Garde des Sceaux a insisté dans son intervention du 15 décembre 20250 que «nul n'est au-dessus de la loi dans l'Algérie nouvelle». Suite à l'agression dont a été victime mon fils Ryad, le 2/3/2017 à 11h00, au niveau de la Nationale N°61 de Dar El Beïda, en face Cosider, quartier résidentiel, il faisait de l'auto-stop pour regagner le domicile familial. L'affaire a été traitée à coup de millions entre les différentes parties (grande affaire de corruption). 1- La thèse de l'acte criminel existe : il a été placardé contre 2 camions conduits par deux frères. Le camion D.F.M s'est sauvé, le semi-endommagé est resté sur place. 2/ Le corps de mon fils est resté plus de trois heures à côté de lui, il y avait un autre corps. 3- Les 2 témoins : 2 agents de sécurité de Cosider, n'ont pas appelé les secours (non assistance à personne en danger). Ils ont été menacés par les agresseurs (donc ils sont complices). 4- Le constat de décès a été établi entre amis, signé par un résident étranger (de nationalité yéménite) avant l'arrivée de la gendarmerie et de la Protection civile, le directeur de l'hôpital de Rouiba n'a pas été coopératif. Le constat de décès a été établi à 2h30. La Protection civile est intervenu à 2h38 (appel) arrivée 2h44. La DEW est arrivée à 2h45. C'est un acte de complaisance établi entre ami (chose très grave). L'hôpital de Rouiba ne manque pas de médecins. Le procureur adjoint n'a pas voulu faire l'autopsie, alors que c'est mon droit comme le stipule la loi. Je suis resté 23 jours pour retrouver mon fils grâce à mes recherches et ma compétence, alors que c'est le travail de la gendarmerie, mon fils avait un portable et une pièce d'identité (photocopie de la CIN). Je me présente à l'hôpital le 4e jour au niveau de la morgue, on me dit qu'il n'y a aucun corps, le 23ème jour pour retrouver le corps de mon fils au niveau de la morgue. Les responsables de la morgue m'ont dit que le 24e jour il allait être enterré à El Alia, propos confirmés par le directeur de l'hôpital de Rouiba, les gendarmes sont venus et ils ont dit au responsable de la morgue, il ne faut pas le déclarer, c'est un ressortissant syrien. Le procureur adjoint m'a menacé et m'a dit : «Va te plaindre, tu peux voir un général si tu veux». Il faisait sa loi. Le PV de la gendarmerie ne reflète pas la réalité (photos truquées). Il n'y a ni schéma ni croquis. Le père des deux agresseurs m'a menacé, il m'a dit : «J'ai le bras long au niveau de la gendarmerie et je peux corrompre n'importe quel magistrat avec mon argent». Il n'a pas demandé des excuses. Il m'a dit : «Le P/APC de Dar El Beïda, c'est mon cousin, il porte le même nom que lui et qu'il a des tonnes de relations avec les autorités locales». (donc, il est utile). Monsieur le ministre de la Justice, je demande l'application de la loi afin de juger tous les coupables et de réparer cette injustice et de sanctionner les magistrats qui ont traité cette affaire. Le jugement du 21/11/2017: il y a faux et usage de faux. A la place de l'accusé, c'est son frère qui a assisté (chose très grave). Le jugement du 29/3/2018 : l'accusé devient témoins. Le président de séance a été promu président de la Cour dans une wilaya du Centre, une année après. Monsieur le Président de la République, en 2017, c'était l'époque de la hogra et dont, j'ai été victime de la part du procureur adjoint de Dar El Beïda, il faisait sa loi (menaces, intimidations, abus de pouvoir, appels téléphonique, manque de respect, etc). Monsieur le Président de la République, je demande votre intervention afin que cette affaire soit réexaminée et qu'elle soit traitée en toute âme et conscience, conformément aux lois de la République. Avec tous mes respects, je vous souhaite plein de succès dans votre mission. M. MACHANE Ali Rue capitaine Abderrahmane Lakhdaria (Wilaya de Bouira)