En visite de travail et d'inspection dans la wilaya de Bouira, le ministre de l'Education nationale, Abdelhakim Belaabed a déclaré, hier lundi, sa confiance totale sur la réussite de la prochaine rentrée scolaire 2024/2025 compte-tenu de nombreux facteurs très avantageux pour l'école primaire algérienne.Depuis la wilaya de Bouira, là où le ministre de l'Education nationale, Abdelhakim Belaabed est en visite de travail et d'inspection en compagnie du ministre de l'Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, le premier responsable de la gestion de l'Education nationale a souligné, hier lundi, que « les établissements scolaires connaîtront la prospérité pour la prochaine rentrée scolaire grâce à une série de rénovation des infrastructures scolaires, au cours de laquelle plus de 1.700 écoles primaires ont été complètement rénovées », c'est ce qu'a déclaré le ministre avant d'ajouter qu' « elles seront équipées d'appareils intelligents ». Agissant comme un prévisionniste logique, tout en se montrant assurant et rassurant à la fois quant à la réussite totale de la prochaine rentrée scolaire 2024/2025, le ministre de l'Education nationale a estimé que « la nouvelle rentrée scolaire connaîtra un saut qualitatif à travers l'ouverture de nombreuses classes préparatoires dans diverses écoles pour permettre à de nombreux parents d'inscrire leurs enfants », dira-t-il avec grande confiance. Très confiant de la réussite de la prochaine rentrée scolaire 2024/2025 avant même son lancement prévue dès le mois de septembre prochain, le ministre de l'Education nationale a assuré que toutes les conditions nécessaires sont déjà réunies pour son bon aboutissement. Et pour illustrer l'attendue réussite de la prochaine rentrée scolaire sur tous les niveaux, Belaabed a mis en évidence le taux d'acceptation moyen pour la première année qui, selon lui, a atteint les 98% durant l'exercice scolaire précédent. « Le taux de baccalauréat élevé et l'amélioration des résultats témoignent de la grande importance que les autorités attachent à ce secteur », a ajouté le ministre. En ce qui concerne l'état de restauration dans les établissements scolaires, le premier responsable au département de l'Education nationale a fait observer que « lors de la prochaine rentrée scolaire, 459 cantines scolaires seront accueillies ». « Un renfort de taille », a fait savoir Abdelhakim Belaabed depuis la wilaya de Bouira. Aussi, ce dernier a fait un appel, hier lundi, aux parents d'élèves, dont leurs enfants ne sont pas scolarisés mais, par conséquent, sont privés de suivre leurs études, d'après un recensement fait par le ministère, en leur demandant à inscrire leurs enfants pour la prochaine rentrée scolaire 2024/2025. Accompagné par le ministre de l'Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, le ministre de l'Education nationale, Abdelhakim Belaabed a annoncé qu' « actuellement et au niveau du département ministériel en coordination avec les Directions de l'Education des 58 wilayas du pays, des travaux sont en cours pour activer et rationaliser la gestion de la prochaine rentrée scolaire, à travers la régulation du nombre d'élèves par classes dans le cadre de la numérisation du processus d'inscription », a-t-il indiqué. Formulant davantage sur les conditions du déroulement de cette opération, Abdelhakim Belaabed a précisé que « le processus d'inscription numérique des élèves de première primaire était achevé à 98% fin juin dernier. « Aussi, et en coordination avec les autorités locales, un recensement des élèves non-scolarisés et qui ne suivent pas les études dans les écoles scolaires sera également achevé avant la rentrée scolaire 2024/2025. Cette opération oblige, surtout, les parents à inscrire leurs enfants, notamment dans les régions profondes de l'Algérie », a souligné le ministre de l'Education nationale lors de son déplacement, hier lundi, à Bouira dans le cadre d'une visite d'inspection. Concernant le domaine de l'encadrement et de la formation, sur ce plan le ministre Belaabed a souligné que « la priorité est donnée aux diplômés des Ecoles supérieures. « Nous travaillons pour créer un poste pour tous les diplômés de l'Ecole supérieure et offrir des postes de travail par le biais de mandats pour leur garantir des postes de travail », dira le premier responsable de la gestion pédagogique des établissements scolaires du pays.