Selon une idée complotiste teintée d'antisémitisme, communément répandue, les juifs dirigeraient le monde, les sionistes d'Israël dicteraient leur volonté aux gouvernements occidentaux. Rien de plus faux. Ce ne sont pas les juifs qui dirigent le monde mais les capitalistes originaires de tous les pays. Le capital n'a pas d'identité, ni de nationalité. Il est apatride. Cosmopolite. Transnational. Mondialiste. De même, ce n'est pas Israël, cet Etat vassal, qui impose sa suprématie au monde occidental mais ce dernier, en particulier les Etats-Unis, qui régente sa colonie israélienne implantée en Palestine. Le problème avec les «complotistes» aux relents antisémites, c'est qu'ils prennent l'effet pour la cause, la conséquence pour la source de la problématique. Ce n'est pas Israël, donc les juifs sionistes, qui a créé le capitalisme et l'impérialisme. Mais l'inverse. Comme il aura créé, au cours du XXe siècle, plus de 150 nouveaux Etats-nations, dont une majorité artificiels. Ce ne sont pas non plus les juifs qui détiennent la finance. Mais la Finance (le Capital) qui tient les juifs et tous les peuples. Le sionisme est un instrument de la politique impérialiste américaine et non l'inverse Certes, aux Etats-Unis l'AIPAC (American Israël Public Affairs Committee), un lobby créé en 1963 dans le sillage de la propulsion de l'Amérique comme unique puissance hégémonique au Moyen-Orient et, par suite, comme nouveau «suzerain» de la base militaire israélienne, joue un rôle de premier plan de lobbying. Mais ce lobby juif est directement contrôlé par le complexe militaro-industriel américain. L'AIPAC vise, entre autres, à faire pression sur le gouvernement américain pour l'obtention de contrats d'armements en Israël. Voire à utiliser Israël, cette base militaire surarmée, comme terrain d'entraînement militaire, d'expérimentation des nouvelles armes, des récentes technologies de surveillance et de contrôle. Aussi, le lobby AIPAC fut l'une des conséquences de l'expansion de la puissance états-unienne dans cette région du monde. C'est la classe dominante américaine, incarnée par le complexe militaro-industriel, qui instrumentalise l'AIPAC. Le sionisme est un instrument de la politique impérialiste américaine. Ce sont les Américains bourgeois qui ont façonné les juifs sionistes à leur image, modelé selon leur personnalité belliqueuse, psychopathique et génocidaire. Et non l'inverse. Avant de se convertir au sionisme, les communautés juives étaient composées d'hommes et de femmes pacifiques, inoffensifs et spirituels. Le professeur Yeshayahou Leibowitz a déclaré : «L'Etat d'Israël n'est pas un Etat qui possède une armée, mais une armée qui possède un Etat.» On qualifie fréquemment Israël d'Etat théocratique. En réalité, Israël n'est pas un Etat théocratique mais un Etat militarocratique. C'est une militocratie. C'est l'armée qui détient les règnes du pouvoir et conditionne les esprits. C'est logique. Israël est, depuis sa fondation, une caserne surarmée occidentale. Israël est peuplé de mercenaires. Israël est la garde prétorienne des puissances impérialistes occidentales. C'est un «Etat prétorien». Israël est un régime fondé sur le prétorianisme. Le prétorianisme est un système politique dans lequel les forces armées exercent une influence déterminante. Le prétorianisme est le mode de fonctionnement d'un régime politique dans lequel l'armée s'érige en pouvoir politique quasi indépendant. Israël, outre le fait d'être un ghetto juif, est une caserne à ciel ouvert où chaque Israélien endosse l'uniforme militaire à vie, où la Polémologie a supplanté l'apprentissage de la Thora. Le Pentagone a transformé l'entité sioniste en Etat terroriste au Moyen-Orient Comme l'Etat américain impérialiste orchestre et instrumentalise, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, toutes les organisations terroristes, il a, depuis les années 1960, transformé l'entité sioniste en Etat terroriste chargé de semer la terreur au Moyen-Orient, défendre et protéger ses intérêts. Y compris par la guerre génocidaire, comme l'illustre l'actuelle opération militaire exterminatrice menée à Gaza, soutenue, financée et armée par toute la classe dominante et dirigeante états-unienne. Certes, ce sont les mercenaires sanguinaires judéo-sionistes qui conduisent la guerre génocidaire dans le territoire de Gaza et, désormais, celui de la Cisjordanie. Mais ce sont les Occidentaux, en particulier les Etats-Unis, qui président à cette politique génocidaire. Israël dépend entièrement de l'aide militaire américaine (depuis le déclenchement de l'opération militaire génocidaire contre les Gazaouis, l'administration Biden a expédié 70 000 tonnes d'armes à Israël), du soutien diplomatique de Washington, des subventions financières des Etats-Unis. L'Etat américain ne déverse pas sans compter argent et armes sous l'instigation du lobby sioniste mais du lobby militaro-industriel. Au final, la faction bourgeoise du complexe militaro-industriel est la seule gagnante. Elle s'enrichit grâce à l'argent du contribuable américain et du mercenariat sioniste belliciste et destructeur. Elle se nourrit donc de la chair à exploiter américaine, de la chair à canon juive israélienne et se désaltère du sang des Palestiniens (Libanais, Syriens, etc.). Ainsi que l'avait souligné le professeur Yeshayahou Leibowitz : «Les Américains ne sont intéressés que par l'idée de maintenir ici (en Israël) une armée de mercenaires américains sous l'uniforme de Tsahal.» «La force du poing juif vient du gant d'acier américain qui le recouvre, et des dollars qui le capitonnent.» Leibowitz a souligné également la dépendance de cet Etat fantoche d'Israël à l'égard des Etats-Unis : «Chez nous l'effondrement total peut se produire en une nuit : conséquence de la stupidité totale qui fait dépendre toute notre existence de l'aide économique américaine.» Fondamentalement, à propos de l'actuel prétendu affrontement entre Israël et le Hamas, il ne faut pas perdre de vue les véritables mobiles de cette opération exterminatrice, menée au vrai contre la population civile palestinienne selon un plan projeté de nettoyage ethnique : la construction du canal Ben Gourion et le pillage des ressources gazières découvertes au large de Gaza, et des gisements pétrolifères de la Cisjordanie. On ne s'explique pas autrement le largage de 70 000 tonnes de bombes sur Gaza, plus que sur Londres, Dresde, Hiroshima et Nagasaki lors de la Seconde Guerre mondiale, ayant déjà conduit à la destruction de 70% des infrastructures et à la création de conditions de propagation des épidémies de polios et de choléra, autrement dit à un nettoyage ethnique. En tout état de cause, l'opération armée exterminatrice déclenchée par le régime fasciste israélien à Gaza avec l'approbation diplomatique et le soutien militaire des Etats-Unis n'est ni confessionnelle ni irrationnelle. Personne n'est sans savoir que la question énergétique est devenue, depuis le déclenchement du conflit armé en Ukraine, partout dans le monde, l'enjeu capital des Etats. En juin 2023, le boucher Netanyahou a déclaré qu'il faudrait «accélérer les exportations vers l'Europe» pour mettre fin à la dépendance énergétique à la Russie. A suivre… Arezki Belkacimi Aussi mesure-t-on mieux les véritables enjeux énergétiques et géopolitiques de cette opération de nettoyage ethnique menée par la bourgeoisie sioniste israélienne, parrainée par les Etats-Unis, sous prétexte d'éradiquer le Hamas. Et l'intronisation des partis néo-fascistes et ultrareligieux au gouvernement n'est pas fortuite. Elle a été favorisée par le grand capital israélien et américain. Qui contrôle le gaz contrôle Gaza Henry Kissinger aimait rappeler ce credo : «Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations.» Israël et les puissances impérialistes occidentales semblent vouloir contrôler le gaz et le pétrole de Gaza et de la Cisjordanie, non pour contrôler ces deux villes, mais pour détruire définitivement la nation palestinienne, en lui appliquant la solution finale. Qui contrôle le gaz, contrôle Gaza. Et qui annexe Gaza, s'approprie son gaz. Il faut toujours avoir à l'esprit que la majorité des guerres modernes sentent fortement une odeur de pétrole ou de gaz. L'actuelle guerre sioniste menée contre Gaza, ce camp de la mort, sent le gaz à plein nez, jusqu'à asphyxier mortellement les Gazaouis, victimes de la rapacité coloniale génocidaire des Israéliens, ces mercenaires des Américains. Ces sociopathes pour qui les Palestiniens, déshumanisés, sont des «animaux». Sans l'appui logistique et l'aide massive militaire fournis par les Etats-Unis, l'Etat fantoche sioniste ne serait même capable de mener une opération de maintien de l'ordre contre la population palestinienne, de faire régner l'ordre colonial dans les Territoires occupés. D'opérer des incursions militaires régulières au Liban, en Syrie. De mener des frappes aériennes contre l'Iran, le Yémen. En réalité, Israël est de facto le 51e Etat des Etats-Unis. Une chose est sûre, si le sionisme européen, œuvre de juifs athées, a transformé de nombreuses communautés juives de par le monde en colons en Palestine, les Américains les auront métamorphosées en mercenaires psychopathes et sadiques, capables de mener des opérations militaires génocidaires, à l'instar de leurs maîtres yankees réputés pour leurs multiples génocides, ethnocides, destructions nucléaires (Hiroshima et de Nagasaki). Ainsi, la communauté religieuse juive, seule communauté à ne jamais avoir eu, au cours de son histoire, un Etat, ni une armée, dont les membres n'avaient jamais porté l'uniforme militaire, ni d'armes du fait de leur exclusion de la vie sociale et, corrélativement, des fonctions officielles par tous les pays chrétiens où elles étaient établies, aura été dévoyée au cours du XXe siècle par les puissances impérialistes européennes, endoctrinés par les idéologies nationalistes militaristes et génocidaires occidentales. Le groupe religieux juif disparate, de communauté hébraïque opprimée et pacifiste, s'est métamorphosé en Etat-nation ethnique juif, suprémaciste et impérialiste. En réalité, les juifs sont les dindons de la farce de l'histoire. Ils n'auront jamais vécu autant en insécurité et sur le pied de guerre que depuis 1948, l'année où les impérialistes d'Europe ont décidé, pour parachever le travail d'épuration ethnique de Hitler, de les déporter massivement en Palestine pour s'en servir comme mercenaires en vue de défendre leurs intérêts géopolitiques et géostratégiques, c'est-à-dire contrôler et orienter le développement de cette région recelant la plus grande réserve de pétrole au monde. Comme l'a écrit en 1972 le militant israélien antisioniste Arie Bober, membre d'un collectif intitulé The Other Israel : «Loin d'offrir un refuge pour les juifs persécutés du monde, l'Etat sioniste mène les nouveaux immigrants comme les anciens colons vers un nouvel holocauste en les mobilisant dans une entreprise coloniale et une armée contre-révolutionnaire contre la lutte des masses arabes pour la libération nationale et l'émancipation sociale.» Comble de l'ironie, depuis 1948, l'Etat fantoche israélien est contraint, pour des raisons endogènes et exogènes, d'être en guerre permanente pour maintenir et pérenniser sa factice union nationale ; faute de quoi, il aurait sombré par privation d'alimentation belliqueuse. Israël ne se nourrit que de guerres récurrentes et écœurantes. La paix lui est impossible (la faction bourgeoisie américaine liée au complexe militaro-industriel œuvre toujours en coulisses pour entraîner Israël dans des conflits armés contre les Palestiniens et, surtout, les pays arabes voisins). D'où cette impérative nécessité belliqueuse de transmuer le pays tout à la fois en camp retranché et quartier général militaire permanent. Depuis la création de la colonie israélienne, l'Etat fantoche sioniste a déclenché délibérément au moins une dizaine de guerres contre les Palestiniens et les pays arabes frontaliers. Citons la guerre de Suez en 1956, la guerre de juin 1967, la guerre du Liban en 1982, l'occupation du sud du Liban (1982-2000), le premier soulèvement palestinien (1987-93), le deuxième soulèvement palestinien (2000-2005), la guerre avec le Hezbollah en 2006 et les quatre guerres menées contre Gaza en 2008-2009, 2012, 2014 et 2021. A l'évidence, l'entité sioniste est consciente de son illégitimité historique, de sa frauduleuse existence. Aussi Israël est-il affecté par un syndrome singulier, le syndrome «sionigène», caractérisé par la bellicosité chronique, la pathologie guerrière, l'affrontement permanent, le terrorisme étatique compulsif. Que symbolise la constitution de cet Etat fantoche sioniste, sinon la dernière création du Grand Ghetto juif mondial instauré sur une terre dépourvue durant des siècles de tout «foyer juif». Une terre habitée des siècles durant par des Palestiniens de toutes les confessions. L'antisémitisme, ou plus exactement l'antijudaïsme, trouve sa source en Europe Deux mille ans durant, les juifs étaient maudits et persécutés par les royaumes chrétiens d'Europe, considérés comme des parias héréditaires, autorisés uniquement à remplir les fonctions de prêteurs d'argent, de «larbins financiers» des classes régnantes royales et ecclésiastiques. Et depuis 1948, ils continuent à servir de «larbins militaires» des Occidentaux, en qualité de mercenaires dans cet immense Ghetto juif à ciel ouvert bâti sur la terre de Palestine. De plus, ces larbins soudards des Occidentaux, qui ont trahi les enseignements des rabbins honorables et mémorables, ont endossé l'uniforme militaire occidental mais également épousé l'idéologie raciste et adopté les méthodes guerrières génocidaires occidentales. Deux mille ans durant, les juifs n'avaient jamais usé d'une arme, servi dans quelque armée. En quelques décennies, l'Occident, en pleine ère des colonialismes, impérialismes, fascisme et nazisme européens, aura émancipé les juifs pour les façonner à son image... militariste, raciste, colonialiste, impérialiste, génocidaire. Le résultat, tout le monde le connaît. Ainsi, les Européens, après avoir, deux mille durant, considéré les juifs comme des parias héréditaires, au XXe siècle ils décident de les transformer en paramilitaires de l'Occident au Proche-Orient. Le comble, c'est que les juifs sont persuadés que les Occidentaux les aiment et les respectent. Au vrai, il n'y a pas pires antisémites que les Occidentaux. Les Européens. L'antisémitisme, ou plus exactement l'antijudaïsme, trouve sa source en Europe. Deux mille durant, en Europe, la haine des juifs a entraîné une multitude de persécutions et d'exécutions. Accusés d'avoir provoqué la mort de Jésus, les juifs étaient constamment marginalisés et diabolisés dans toute l'Europe. Globalement, l'activité économique des juifs était limitée par une double exclusion : de la propriété immobilière et des corporations. De nombreux métiers leur étaient interdits par les autorités. Le travail manuel leur étant interdit, aussi bien les activités artisanales qu'agricoles, il ne restait aux juifs que les métiers intellectuels (en particulier la médecine) ou les métiers financiers. Les juifs étaient cantonnés à occuper l'activité de prêteur sur gages. Les autorités royales et ecclésiastiques avaient même contraint les juifs à se distinguer des chrétiens sur le plan vestimentaire par le port obligatoire de signes distinctifs : des chapeaux ou des anneaux jaunes. C'est à cette époque que les visages juifs commencent à être dessinés avec un nez crochu, à l'image de Satan. Les juifs étaient accusés de sacrifier des enfants chrétiens. Durant les Croisades, les juifs avaient le choix entre se convertir au christianisme ou mourir. L'effondrement total d'Israël va se produire en une nuit A partir de la fin du XIXe siècle, à la faveur du développement des théories raciales en Europe, la haine des juifs se détache de ses motivations théologiques pour revêtir une tournure biologique. Au mitan du XXe siècle, cette haine atavique des juifs culmine, dans plusieurs pays européens, notamment en Allemagne et en France, dans leur anéantissement physique systématique. Une chose est certaine : avec les bouleversements géopolitiques actuels, les juifs vont l'apprendre à leurs dépens : les Occidentaux, en particulier les Etats-Unis en plein déclin, finiront par les lâcher. Car, à la faveur de l'émergence du bloc impérialiste oriental rival, dominé et conduit par la Chine, les enjeux géostratégiques se sont déplacés de la Méditerranée et de l'Atlantique vers le Pacifique. Le front de la confrontation mondiale entre les camps occidentaux (OTAN) et orientaux (Chine-Russie) se situe dorénavant dans le Pacifique. Comme l'avait souligné le professeur Yeshayahou Leibowitz : «Les Américains ne sont intéressés que par l'idée de maintenir ici (en Israël) une armée de mercenaires américains sous l'uniforme de Tsahal.» «La force du poing juif vient du gant d'acier américain qui le recouvre, et des dollars qui le capitonnent.» Leibowitz avait relevé également la dépendance de cet Etat fantoche d'Israël à l'égard des Etats-Unis : «Chez nous l'effondrement total peut se produire en une nuit : conséquence de la stupidité totale qui fait dépendre toute notre existence de l'aide économique américaine.» Cela étant, la classe dominante sioniste d'Israël est consciente de ces bouleversements géopolitiques. C'est pour éviter le désengagement des Etats-Unis, la fin du soutien militaire et de l'aide financière, que les dirigeants sionistes radicalisés et fanatisés se sont lancés dans une politique de la terre brûlée, d'interminables opérations militaires tous azimuts, dans le dessein d'embraser toute la région, de maintenir la pression sur leur parrain états-unien pour le contraindre à conserver et pérenniser ses aides financières et soutiens militaires. Bien évidemment, le complexe militaro-industriel américain se frotte les mains. Son carnet de commande explose au rythme de l'explosion de la vie des Palestiniens, massacrés par les bombes et armes fournies par les Américains. Les juifs vont regretter de s'être aliénés les habitants des pays arabes et musulmans En tout cas, les juifs d'Israël vont se lamenter d'avoir été utilisés comme mercenaires pour coloniser le peuple palestinien, massacrer des populations civiles palestiniennes innocentes et pacifiques, livrer une ultime guerre génocidaire aux Gazaouis pour offrir à leurs parrains américains et européens un champ pétrolier, une plate-forme gazière, un nouveau canal, plus long que son rival canal de Suez, une voie de navigation la plus importante du monde, un corridor commercial concurrentiel. Par-dessus tout, ils vont regretter de s'être aliéné les habitants des pays arabes et musulmans. Pays où, durant des siècles, les juifs avaient vécu en symbiose et sans ségrégation au milieu de la population musulmane, ayant à peu près les mêmes occupations professionnelles que la moyenne de celle-ci. Où les juifs ne se distinguaient des populations musulmanes que par la religion, tant, liés par des traits culturels, ils partageaient les mêmes modes de vie. Pour conclure. Le sionisme a toujours prétendu protéger les juifs. Libérer les juifs de leur statut de parias héréditaires. Or, depuis la création de l'Etat fantoche d'Israël, cet Etat forteresse militarisé, les dirigeants sionistes ont constamment mis les juifs en danger, en les sacrifiant pour sauvegarder cette base militaire occidentale. Israël, cet immense ghetto sioniste planté au cœur de l'Orient, est devenu l'endroit le plus dangereux au monde pour les juifs. Ironie de l'histoire, depuis le 9 octobre 2023, les paramilitaires juifs sionistes de l'Occident sont redevenus des parias, non pas de l'Europe, mais du monde entier. Pis, les sionistes auront ressuscité l'antisémitisme. Depuis bientôt un siècle, le sionisme bafoue les valeurs de la Thora. Pour cette raison, le sionisme génocidaire a perdu toute légitimité de se référer au judaïsme authentique, cette matrice des trois religions abrahamiques, ce culte millénaire qui a tant donné à l'humanité. Le sionisme, idéologie colonialiste européenne qui se sert des juifs comme mercenaires en Orient, est synonyme de colonialisme, de racisme, de suprémacisme, de bellicisme, de guerres impérialistes permanentes et, depuis octobre 2023, de génocide. De crime contre l'humanité, dont les victimes sont en premier lieu les Palestiniens, mais aussi les juifs. Quand les juifs se rendront-ils compte qu'Israël n'est pas devenu le sauveur des juifs, mais la plus grande menace existentielle pour eux ; et le sionisme, le plus grand péril pour l'humanité car il est synonyme de racisme, suprémacisme, fascisme, nazisme, vecteur de guerres chroniques, de massacres, de génocides ?