AVotre Excellence, Monsieur le président de la République algérienne démocratique et populaire. Moudjahida et sœur de chahid, Monsieur le président de notre nouvelle Algérie, c'est le troisième 1er Novembre que je passe dans les escaliers du CEM Thabet Benkoura, les Vergers (Birkhadem) – Alger. Retraitée de l'Educations nationale, âgée de 88 ans, née le 09/02/1935, j'ai été jetée à la rue par la direction de l'Education de Chéraga et le tribunal de Said Hamdine sans aucun jugement. J'avais été jugée et condamnée en 2008, j'avais été sauvée par le sénateur, le moudjahid Hadj Mustapha Cherchali Moussa, auprès de l'ex-ministre de l'éducation nationale Benbouzid, en 2008. Il avait ordonné au directeur de Cheraga, lui donnant à choisir entre la retraite au Sahara, ce dernier avait à choisir le Sahara, son équipe régnant jusqu'à ce jour, avait juré de se venger et ils l'ont fait. Je m'attendais à tout, après la disparition du chahid Chechali (Rabi yarahmou). Ces derniers jours, je vis un plus, madame la directrice du CEM Thabet BenKoura m'empêche d'accéder à ses escaliers en fermant le portail et la porte du côté logements, m'empêchant ainsi d'accéder à mes affaires et y dormir. Avec mes respects et ma haute considération, nous prions le Tout-Puissant de vous venir en aide pour une Algérie libre et indépendante, démocratique et populaire. Madame Antri Bouzar Ghania CEM Thabet Benkouta