Macron Führer du IVe Reich Le processus d'installation de ce que l'on peut désormais appeler un IVe Reich est irréversible et le freluquet Emmanuel Macron est appelé à y jouer un grand rôle : celui de chef suprême de l'Armée et de la Défense européenne. Son discours à la nation du 5 mars où il a quasiment déclaré la guerre à la Russie et confié son intention de mettre l'Europe sous la protection nucléaire française, ainsi que sa convocation de tous les chefs d'état-major européens et de l'OTAN le 11 mars à Paris révèlent l'ambition démesurée du Président français en perte de crédibilité et qui fait fi du rejet exprimé par le peuple lors des dernières élections. Le poste de chef d'état-major est un poste opérationnel et réunir les chefs d'état-major est un signe qui ne trompe pas. Macron qui se positionne comme chef de guerre de l'Europe et qui déclare la guerre à la Russie, cela ne cadre pas avec les deux ans qu'il lui reste à l'Elysée. On s'aperçoit ainsi que l'establishment français a toujours eu un plan pour le petit Macron qui compte bien rester au pouvoir. La nomination de son copain et non moins voleur Richard Ferrand (voir l'affaire des Mutuelles de Bretagne) à la présidence du Conseil constitutionnel ce 8 mars, nomination qui est passée in extremis grâce à la complaisance du Front-Rassemblement national qui s'est abstenu de voter, n'a pas d'autre objectif que de permettre à Macron de contourner la Constitution pour s'incruster au pouvoir. Il laisse l'extrême-droite mener le jeu via son ministre de l'Intérieur et laisse pourrir la situation, ce qui est dans son intérêt pour arriver à ses fins. Il semble donc que l'establishment français ait trouvé la parade pour sauver l'économie en ruine en instaurant un ordre fasciste pour soumettre les populations susceptibles de se rebeller face à l'inflation et la précarité, avec l'enrôlement des jeunes dans l'armée, et avec un réarmement dans les industries européennes qui, toutefois, ne pourra pas se faire à court terme puisqu'il n'y a plus d'infrastructures. Sachant que Trump veut retirer ses billes d'Europe, c'est Macron qui veut aujourd'hui être le chef de guerre de l'Europe en mettant celle-ci sous le parapluie nucléaire français, lui qui a dit un jour, en 2010, que la dissuasion nucléaire ne servait à rien. Pourquoi a-t-il changé complètement d'avis ? Que s'est-il passé ? Macron dont le pays est traversé par des problèmes liés à une grave crise de régime doublée d'une crise économique, dont les différents ministres et hauts fonctionnaires sont empêtrés dans des affaires de corruption ou de pédocriminalité, sans parler de leur illégitimité puisqu'aucun n'a été élu, veut devenir une sorte de haut fonctionnaire européen imposé à la manière de Von der Leyen, sa grande amie et complice des mauvais coups. C'est la raison pour laquelle on parle beaucoup aujourd'hui de l'Europe de la défense, plan conçu dans les laboratoires de l'oligarchie européenne qui se frotte déjà les mains en pensant aux revenus que va générer cette économie de guerre. Bien entendu, les grands perdants sont, encore une fois, les peuples qui vont devoir se serrer la ceinture quand on ne les enverra pas au casse-pipe, peut-être même de la façon musclée utilisée par les nazis ukrainiens pour recruter la chair à canon. On a bien compris que les régimes occidentaux organisent des élections pour donner l'impression qu'ils sont démocratiques. C'est un leurre. Oublions l'Ukraine qui bientôt ne figurera plus sur la carte et qui est un faux Etat gouverné par un faux président, lequel est un jouet aux mains des puissances occidentales et surveillé de près par une bande de nazis susceptibles de l'envoyer ad patres au moindre faux pas. Commençons par les Etats-Unis où c'est l'argent des milliardaires sionistes et du lobby israélien qui fait les présidents, lesquels sont interchangeables entre le parti démocrate et le parti républicain, une fois l'un, une fois l'autre, l'alternance donnant un faux semblant de démocratie. Un candidat indépendant à la présidence, quelle que soit sa valeur, ne verra JAMAIS le bureau ovale de la Maison-Blanche. Et bien sûr, cette sujétion au sionisme entraîne le soutien inconditionnel à l'entité sioniste d'Israël. En Europe, il y a un Parlement avec des députés issus des pays membres qui, tout en empochant l'argent des lobbies et profitant des cadeaux de ces derniers – rappelons-nous l'affaire du Marocgate – votent les lois édictées par la Commission dirigée par Ursula von der Leyen, une aristocrate gynécologue non élue dévouée aux ordres de ses maîtres de l'oligarchie mondiale, grande amie de Bourla, le patron de Pfizer (nous pensons au Pfizergate), une sorte de kapo qui s'est découvert sur le tard une passion pour l'ordre et la guerre dans l'univers concentrationnaire qu'est en train de devenir l'Europe. Quant aux dirigeants des pays européens, ce sont tous les chiens de cirque du grand capital qui obéissent au doigt et à l'œil aux injonctions de la Commission. Quand, par exemple, on a en France un Président qui perd les élections mais qui arrive à rester au pouvoir en faisant du bricolage et en remettant plus ou moins les mêmes têtes de pioche dans son gouvernement, quand on voit qu'il contourne le vote du Parlement à coups de 49/3 pour faire passer des lois exigées par l'Europe, qu'il place ses pions pourris à la tête des institutions, on se demande où est la fameuse « démocratie » dont la France et l'Europe se prétendent les chantres. Ce que représentent les élections dans ce magma kafkaïen est une vaste plaisanterie qui ne fait rire que les puissants. Dans les médias de masse aux mains des oligarques, des soi-disants « experts » caquettent et font du vent. Ils parlent d'Etat de droit, de démocratie et de liberté d'expression, mais ce sont des mots vidés de leur sens. Ces gens appartiennent à des pays où il n'y a ni Etat de droit, ni démocratie, ni liberté d'expression, tout en persuadant les peuples du contraire. On a vu ce que les dirigeants européens ont fait de l'argent du peuple russe, ils l'ont donné à l'Ukraine nazie alors que celle-ci massacre ses citoyens russophones depuis 2014. Ces dirigeants sont des bandits en col blanc ou en jupons, des mafieux hors-la-loi qui ne respectent ni le droit international, ni les Traités, ni rien. S'il y avait une démocratie en Occident, tous ces truands seraient en prison. Quoi qu'il en soit, le grand gagnant de toute cette embrouille est Emmanuel Macron puisque son nouveau rôle de chef de guerre l'a fait grimper dans les sondages. Eh oui, un petit coup de trompette guerrière fait toujours son effet sur le peuple français. Ainsi, ce petit banquier efféminé élevé dans la couveuse du grand capital via les Young global leaders, qui n'a jamais porté l'uniforme que lors du carnaval ou au cours de ses visites à l'Armée, a été choisi pour devenir le Kaiser de l'Europe. Même Brigitte Macron est embrigadée dans la propagande martiale dithyrambique des médias de l'oligarchie qui la décrivent très en beauté (sic) et qui louent l'élégance de sa tenue « officier » Louis Vuitton lors du dîner d'Etat offert au Président ouzbek. Attendons-nous à la (ou le) voir bientôt en treillis aux côtés de l'empereur Néron sur son char d'or. L'Algérie face au fascisme néocolonial français Le climat de terreur utilisé contre la communauté algérienne visant à mettre en place une société néocoloniale fasciste fait de la France un champ d'expérimentation à ciel ouvert. Selon le taux de réussite, cet agenda sera répercuté à l'échelle européenne. S'il le faut, la Constitution sera suspendue, un état de siège sera décrété et on verra l'armée dans les rues. Rappelons ''l'Opération Ronces'' dont nous avons parlé dans un précédent article. Toutes les pistes sont sur la table. Exactement comme l'a fait leur allié Zelensky en Ukraine puisqu'il est toujours Président, alors que son mandat a expiré le 19 mai 2024. En tout cas, il y a clairement un programme spécial pour Macron qui ira au-delà de son mandat, porté par les oligarques tels que Bernard Arnault et Xavier Niel, lesquels étaient conviés au dîner d'Etat offert au Président ouzbek. La « décoration » était assurée par la championne de la fellation économique, à savoir la Marocaine Rachida Dati, et par le couple Lang sorti tout droit du musée de Madame Tussauds. Ces deux-là, le soir au coin d'un bois, feraient fuir les plus coriaces des coupe-jarrets et on ne peut que plaindre les pauvres gosses de Marrakech. Il faut cesser de penser que Macron est étranger à tout ce qui se dit et se fait du chef de l'extrême droite. Bruno Retailleau s'est d'ailleurs exprimé sur sa concertation avec le Président. En fait, rien ne se passe sans l'aval du Président Macron-Jupiter ou maître des horloges. Il n'y a pas de divergences au sein d'un gouvernement, sinon il y aurait démission. Et même s'il y a démission, cela fait partie des manœuvres politiques. En effet, Retailleau menace de démissionner sous prétexte qu'il ne supporte pas que la France cède sur le dossier de l'Algérie. D'après nos sources, un tête-à-tête a eu lieu entre lui et Macron. Qu'est-ce qui s'est dit dans cette conversation secrète? Nous avons notre idée à ce sujet. Le sujet ne peut être que l'Algérie, bien sûr. Macron joue le pourrissement dans le dossier algérien en utilisant Retailleau, et celui-ci utilise son poste de ministre de l'Intérieur pour diffuser les thèses de l'extrême droite afin de siphonner les voix de Marine Le Pen pour accéder à la direction des LR et ensuite viser l'Elysée en 2027. Macron quant à lui veut rester au pouvoir en s'appuyant sur l'extrême droite. En réalité, tout le monde s'entend comme larrons en foire, au détriment du peuple qui n'y voit que du feu. Et d'ailleurs, tous les dirigeants européens sont unanimes pour instaurer un ordre fasciste. Tous sont des bellicistes enragés dont la suffisance est à la mesure de leur incompétence et de leur corruption, et ils n'ont trouvé que la guerre pour se maintenir au pouvoir. On ne peut que regretter d'avoir une classe politique aussi médiocre à tous les niveaux du pouvoir, que ce soit en France et dans les pays européens, au lieu de personnes compétentes, intelligentes et charismatiques. Mais cela a l'avantage de permettre de saisir aisément leurs manœuvres tortueuses. Ces gens qui n'ont aucune culture de l'Etat ne pensent qu'à leurs privilèges et entretiennent un esprit de caste qui les fait graviter dans une sphère bien loin des préoccupations des peuples. Il appartient à ceux-ci de se libérer du joug de cette oligarchie prédatrice, mais on en est, hélas, bien loin. Il s'avère que le ministre activiste des « Affaires algériennes », à savoir l'obsédé des OQTF Bruno Retailleau a déclaré ce 14 mars qu'il avait soumis à l'Etat algérien une liste de soixante éléments dangereux à renvoyer en Algérie. Nous lui répondons que les 60 radicalisés qu'il veut nous refiler sont Français. Qu'il les garde et qu'il se débrouille avec les monstres que la France a créés. « L'épreuve de vérité », Monsieur Retailleau, c'est que nous avons demandé en vain l'extradition de certains membres de la Issaba comme Abdeslam Bouchouareb, qui s'est réfugié en France avec l'argent du peuple algérien. Nous n'avons encore vu ni l'un ni l'autre. Idem avec les terroristes du FIS que l'Algérie réclame pour les juger et que la France protège. Même fin de non-recevoir pour vos mercenaires que sont ces fameux « opposants » qui s'activent contre l'Algérie depuis votre territoire, tels les terroristes du ''MAK'' et de ''Rachad'', les Hichem Aboud, les Abdou Semmar, les ''Amir Dz'' et autres pions de votre politique néocoloniale infecte. Vous êtes coupables d'avoir été derrière la décennie noire qui a ensanglanté notre pays quand vous souteniez et financiez les terroristes qui égorgeaient notre peuple. Vous êtes coupables de vouloir rallumer le feu du terrorisme islamiste en Algérie comme l'a prouvé l'enquête de nos services de renseignement qui ont grillé votre agent Andrei Joseph Gabriel Gallardo, dit Ivan. Vous êtes coupables de génocide commis à l'égard du peuple algérien pendant les 132 ans de votre colonisation, et le reportage diffusé sur la chaîne suisse RTS révélant les armes chimiques que vous avez utilisées contre nos Chouhada au mépris des lois internationales est un épisode de cette sale guerre que vous avez menée contre notre peuple pendant plus d'un siècle. Quant à votre « riposte graduée » chuchotée par Driencourt, la bienséance m'interdit de vous préciser ce que vous pouvez en faire, mais je suis sûr que vous m'avez compris.