, Le rôle important des médias africains dans la couverture du 2e Festival culturel panafricain, prévu à Alger du 5 au 20 juillet, a été mis en exergue lundi, à l'occasion de l'ouverture de la réunion technique regroupant les responsables des médias lourds africains, dont les travaux se poursuivront mardi. «Une telle rencontre permettra aux professionnels des médias de réfléchir sur la meilleure manière de valoriser notre prochain festival», a indiqué M. Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, soulignant «la responsabilité» qui leur incombe «dans la construction de l'image que l'Afrique veut donner au monde». «Le prochain rendez-vous culturel panafricain, qui sera placé sous le signe de «la renaissance et du renouveau africains», témoigne de la place de choix qu'occupe la culture dans notre vision du développement.» Il a, par ailleurs, rappelé, l'accent mis par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, lors de la conférence des ministrec africains de la Culture, tenue à Alger en octobre 2008, sur l'impérieuse nécessité de «parvenir à une vision partagée en vue de redynamiser les valeurs culturelles qui nous sont communes, afin qu'à leur tour, elles servent plus largement la renaissance de l'Afrique». «Le prochain rendez-vous culturel panafricain, qui sera placé sous le signe de «la renaissance et du renouveau africains», témoigne de la place de choix qu'occupe la culture dans notre vision du développement», a souligné le ministre des Affaires étrangères, relevant que ce rendez-vous, tend, en effet, à «revaloriser la diversité et la richesse culturelles de l'Afrique à un moment où la mouvance de la globalisation menace l'existence des cultures locales notamment dans les pays du Sud». Il a, par ailleurs, rappelé, l'accent mis par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, lors de la conférence des ministre africains de la Culture, tenue à Alger en octobre 2008, sur l'impérieuse nécessité de «parvenir à une vision partagée en vue de redynamiser les valeurs culturelles qui nous sont communes, afin qu'à leur tour, elles servent plus largement la renaissance de l'Afrique».