L'histoire du monde footballistique retiendra que Koffi Codjia a été le bourreau de l'équipe nationale algérienne. Jamais au grand jamais depuis la création de la coupe d'Afrique des nations en 1957, un pareil scénario ne s'était pas produit. Koffi Codjia est la risée du monde arbitral et le déshonneur d'un pays frère, le Bénin. De tels faits et de tels actes ne peuvent pas permettre au football africain de progresser davantage, car malgré la lourde défaite, les spécialistes et les connaisseurs de la balle ronde de la planète ont été conscients et compris que c'est l'arbitre Koffi Codjia qui a fait pencher la balance en faveur des Egyptiens. On ne trouvera jamais les mots exactes pour analyser le scénario pour le moins scandaleux de la rencontre Egypte-Algérie et dont la presse internationale n'a pas manqué de fustiger l'arbitrage douteux à sens unique du referee Koffi Codjia qui a tout fait pour saboter la sélection algérienne et l'empêcher d'atteindre la finale. Ruse et vicieux, il a fait le nécessaire pour assurer la victoire aux coéquipiers d'Ahmed Hassan car il savait que l'équipe d'Algérie revenait en puissance lors des 30 minutes de jeu de la première mi-temps. Les Algériens sont fiers de leur équipe car c'est un peuple qui a toujours été reconnaissant envers ceux qui se sont toujours démenés et fait preuve de bravoure quand il s'agit de défendre les couleurs de l'Algérie. Malgré la défaite de 4 buts à 0, le fait d'avoir joué à 7 contre onze et d'avoir continué à attaquer, les Algériens sont fiers de leurs héros. Si l'arbitre Koffi Codjia, «devenu la honte du Bénin» avait arbitré de manière juste, l'Egypte ne nous aurait jamais battus. Il a tout fait pour énerver nos joueurs et réussi sa mission au grand bonheur des Egyptiens qui ont bien profité de la situation. Même à 7 joueurs dans le terrain, l'Algérie a été maître dans la possession du ballon, les Egyptiens voulaient profiter de la situation pour inscrire le plus grand nombre de buts «car on achève bien une bête blessée». Malheureusement, ils n'ont pas pu. Le président Mohamed Raouraoua avance qu'il y a eu complot contre l'équipe nationale algérienne et que le referee Koffi Codjia savait pertinemment ce qu'il faisait et pire comme lui, il n'y en a pas. Des yeux neutres sont là pour attester de la mauvaise foi de l'homme en noir et bleu. L'Egypte, nation la plus forte aux deux dernières coupe d'Afrique, n'avait pas besoin de ça pour rallier à nouveau la finale… Un des supporters des Verts nous dira, «tant que le siège de la CAF se trouve toujours au Caire, l'Egypte continuera toujours à gagner de la sorte et collectionner des titres bidons». La preuve, il n'y a pas que Koffi Codjia qui ne mérite pas d'aller en Afrique du Sud pour le Mondial-2010, mais aussi Jérome Damon, l'arbitre qui a valider un but qui n'a jamais pénétré la cage du gardien camerounais. Koffi Codjia, vous êtes la honte du corps arbitral africain, vous ne méritez en aucun cas d'être choisi pour le Mondial-2010 car tout le monde aura compris le parti pris flagrant avec l'Egypte. Brandir trois cartons rouges contre les Algériens dans une demi-finale, cela ne s'était jamais passé depuis 1957. Koffi Codjia en avait décidé ainsi même en bafouant les règlements. Et profitant de leur supériorité numérique, les Egyptiens comme à leur accoutume ont tenté de marquer le plus de buts dés leurs retours des vestiaires en assiégeant le camp des Verts mais les Algériens résistent en opérant par des contres, et même à 7e, ils faillirent inscrire un but par Yebda qui obligea El Hadary à intervenir en catastrophe. L'Algérie est fière de son équipe, de ses poulains qui sont effectivement les guerriers du désert. Mais les Algériens n'arriveront jamais à comprendre le fanatisme des Egyptiens qui mélangent «l'islam au football». Alors la question de savoir que vient faire le livre Saint du Coran dans les mains d'un entraîneur-adjoint égyptien en tenue de cuissette dans un stade de football, se pose. Que voulait-il insinuer en présentant le livre Saint du Coran à la caméra ? Plus provocateurs que les Egyptiens il n'y en a pas. Devant la partialité affichée par l'arbitre, ils ont vite compris que c'était dans la poche, ce qui leur a permis de verser et abuser dans la provocation à l'encontre des officiels et journalistes algériens. Les Verts ne joueront pas la finale certes, mais il sortent de la course pour le titre la tête haute. L'Algérie est mondialiste alors accueillons nos héros lors de leurs retour de l'Angola comme des rois. Quant à Koffi Codjia, laissons-le se lamenter avec sa conscience… S'il en a une bien sûr !