En termes orduriers, le journaliste de quotidien français Libération, envoyé spécial en Afrique du Sud, n'a pas mâché ses mots en traitant nos joueurs de tous les noms d'oiseaux. En termes plus clairs de femmelettes. Réponse du berger à la bergère : qu'ont-ils fait les Tricolores devant l'Uruguay sauf de glousser et de caqueter comme des poules de basse cour ? Des coqs, il n'en est rien. Même le coq sportif, symbolisant l'équipe de France, n'a émis aucun cri devant une modeste équipe uruguayenne. La maison française est à l'envers, paradoxalement ses poules chantent aussi haut que leurs coqs. Des poules mouillées, pusillanimes incapables de pondre la moindre occasion de but si ce n'est de se contenter d'un pousse-ballon indigne du coq qu'elles portent sur leurs maillots. Ne serait-il plus sensé de les rissoler dans un four et en faire un plat et l'offrir sur un plateau aux Mexicains et au Sud-africains, leurs deux prochains adversaires. On se doute fort que ces poules retrouvent leurs tripes, notamment leurs scandaleux Gouvou et Ribéry, même si la femme de ce dernier, un coq bien de chez-nous, a fièrement exhibé son algérianité durant France – Uruguay. Je ne dirais pas plus au risque de froisser son mari, bien aimé dans notre pays. Vous voyez qu'au moins, j'épargne un joueur des Tricolores contrairement à ce journaliste français qui a eu l'indécence de mettre tous nos joueurs dans le même sac. Et puis, en quoi ça le regarde si notre équipe nationale, composée d'Algériens pur sang, se fait ridiculiser dans ce Mondial. Il serait plus rationnel de balayer devant sa porte et de baiser la main de Thierry Henry, celle-là même qui a injustement éliminé l'Irlande du Mondial qu'elle méritait amplement. Et puisque on en est, ces mêmes poules ou du moins dans leur majorité, ont du sang africain. Vous n'avez qu'à voir la peau de l'équipe de France durant les prochains matchs et vous constaterez qu'elle est aussi noire que la peau des Africains.