Ils mènent une vie très difficile en cette période estivale marquée par les importantes dépenses familiales auxquelles s'ajoutent les préparations pour le mois de Ramadhan suivi de la rentrée scolaire. Selon eux, c'est grâce aux commerçants plus cléments qui leur fournissent des denrées alimentaires et fruits et légumes sous forme de crédit qu'ils vivotent, sinon c'est la déchéance totale sachant que chaque travailleur est chargé de nourrir plusieurs âmes dans sa famille . Pour d'amples informations, le responsable du service de ressources humaines au niveau de l'établissement hospitalier Ahmed Medeghri d'Aïn Témouchent rapque c'est vrai que ces travailleurs sont sans salaires et qu'ils a soulevé leur cas aux instances concernées.