Après avoir boudé les entraînements de l'équipe plus d'une semaine pour avoir exigé un salaire de 120 millions de centimes, le coach Bouali a fini par accepter les conditions imposées par le comité directeur sur certains aspects liés au recrutement de certains joueurs retenus par l'entraîneur et qui n'ont pas convaincu le staff dirigeant. Quand on écarte un jeune attaquant et qui promet beaucoup, c'est du néo-chélifien dont il s'agit. Pour le jeune Boussella, Bouali a pris les choses avec beaucoup de pincettes. On a appris que Bouali n'avait pas le choix. Rester au WAT ou partir voir ailleurs. Une option qui a incité Fouad à revoir sa position surtout que la direction du club a établi plusieurs contrats à plusieurs entraîneurs, Biskri, Saïb et autres. D'ailleurs Mohamed Henkouche aurait donné son accord de principe de driver le WAT. Tout était prêt, nous dit-on, pour finaliser avec l'enfant de Mascara en cas où Bouali refuserait de reprendre les entraînements. Cependant l'ultimatum a été respecté par le coach tlemcénien Bouali qui, soit-disant, est revenu sur de meilleurs sentiments. Sentant que son avenir allait être hypothéqué, Bouali s'est entretenu avec le boss tlemcénien pour un retour à l'amiable. Aussi, malgré le mea culpa de Bouali, les avis sont partagés sur le retour de ce dernier à la barre technique dont la majorité a souhaité le départ. Ils ont émis le vœu de le voir ailleurs. Déjà qu'il n'a plus la cote à Tlemcen depuis cette fameuse sortie inopportune de sa part, ce qui a incité la majorité des supporters à ne pas assister massivement aux séances d'entraînement en guise de mécontentement à l'égard dudit coach. Signalons aussi que le stage qui était prévu à Ifrane (Maroc), a été catégoriquement annulé par la direction à cause des turbulences causées par cet entraîneur.