«La seule démocratie» du Proche et Moyen-Orient s'illustre de jour en jour par ses crimes abominables, bénis évidemment par ses acolytes américains et Occidentaux. Chaque jour qui se lève nous révèle un nouveau scandale (criminel, bien sûr) ; sans toutefois changer le cours des événements. Après les scandales de trafic d'êtres humains, notamment de femmes d'Europe de l'Est, pour lequel Israël constituait une plaque tournante, c'est maintenant l'accusation de trafic d'organes qu'éclabousse le régime sioniste corrompu. Une corruption qui provoque des réactions lourdes de conséquences pour le régime sioniste puisque récemment l'un de ses pionniers (Dov Yermiya, un pacifiste israélien) a publiquement rejeté ce pour quoi il a lutté : «Moi, un vieux sabré (juif né en Israël) de 95 ans... déclare ici même que je renonce à ma croyance dans le sionisme qui a échoué, que je ne serai pas loyal à l'état juif fasciste et ses folles visions...» Oui messieurs, cet «Etat» assoiffé de chair et de sang devrait être l'exemple à suivre dans le Proche et Moyen-Orient, puisqu'il est cité fréquemment en exemple pour être la seule DEMOCRATIE dans la région. Ce feuilleton macabre a été dévoilé déjà en août 2009, avec notamment l'article publié dans un journal suédois qui accusait les soldats sionistes de kidnapper des Palestiniens, de voler et de vendre leurs organes. Sous le titre «ils pillent les organes de nos fils», ce quotidien suédois à grand tirage a consacré deux colonnes entières à cette information s'attirant bien sûr immédiatement le qualificatif «d'antisémite». L'article en question cite des témoignages de Palestiniens affirmant que de jeunes hommes en Cisjordanie et à Ghaza avaient été kidnappés par l'armée d'occupation israélienne, et que leurs dépouilles avaient été rendues à leurs familles avec des organes en moins. L'auteur de cet article, Donald Boström, a compilé des témoignages accablants de familles palestiniennes. «Nos fils sont utilisés comme donneurs d'organes involontaires» ont dit des proches de Khaled, de la ville de Naplouse avec qui Donald Boström s'est entretenu. Idem pour les oncles de Machmod et Nafes de Ghaza tous deux disparu pendant quelques jours et dont les corps autopsiés ont été retournés à leurs familles. Le journaliste cite également une affaire survenue en 1992, lors de la première Intifada. Il dit que l'armée sioniste s'était emparée d'un jeune Palestinien connu pour jeter des pierres sur les soldats sionistes dans la région de Naplouse, après lui avoir tiré dessus le touchant à la poitrine, aux deux jambes et à l'estomac. Mortellement, blessé son corps avait été transporté par un hélicoptère militaire à «un endroit non connu de ses proches». Cinq nuits plus tard, le corps du jeune Palestinien a été rendu à sa famille enveloppé dans des draps verts d'hôpital. (Suivra)