C'est parce qu'aussi le ministère de la Santé a accédé à la demande de la wilaya de renforcer le paramédical dont la wilaya ne dispose que d'une seule école, du reste insuffisante, à Aokas. Le ministère a donc accordé 500 postes répartis en diplômés de l'Etat et aides-soignants. Un quota exceptionnel pour lequel il fallait réserver une structure adéquate au niveau de la commune. C'est ainsi qu'il a été fait appel au centre d'accueil, occupé pour l'heure par 18 personnes et trois familles. Celles-ci, nous dit-on, seront transférées à la DAS, quant aux trois familles, elles seront relogées par la commune dans le cadre du social, et d'ajouter que les transferts sont effectués sans précipitation aucune. Ainsi donc, tout le monde trouve son compte et la commune aura une structure de formation qui va améliorer les prestations paramédicales, où un déficit criard est enregistré. Poursuivant cet effort, le secteur de la santé va bénéficier de classes au niveau de Sidi Aïch, Akbou, Tifra, Amizour, Tasekriout, et ce, pour améliorer le niveau des soins dans la wilaya.