Ces nouveaux flux estudiantins porteront les effectifs de l'université à 15 500 étudiants, difficulté ayant exigé des responsables de prendre des mesures tendant à dégager d'autres moyens pédagogiques et d'enseignement. En effet, l'université sera renforcée à l'occasion de la prochaine rentrée universitaire par de nouvelles capacités. Quatre facultés (sciences humaines et sociales, sciences économiques, droit et sciences et technologies) seront créées dans ce sens, nous indiquera le recteur, Chebaiki Saâdane, selon qui l'effort portera aussi sur l'ouverture de 20 laboratoires de recherche de haute technologie dans l'objectif de donner une plus grande dynamique à l'activité de recherche et de mieux répondre aux besoins de la post-graduation des différentes filières enseignées. Par ce biais, l'université pourra se mettra au diapason des autres universités en offrant aux enseignants la possibilité d'accéder aux outils modernes de la recherche scientifique grâce aux équipements acquis. Considérant que l'université doit jouer un rôle important dans le processus d'élaboration et de diffusion du savoir, le rectorat de l'université envisage de lancer une revue d'information afin de faire connaître les travaux menés par ses enseignants dans les domaines de la recherche scientifique, ainsi que les possibilités de coopération et de partenariat susceptibles d'être établies avec le reste des secteurs (Saidal, Kahrif...). L'autre préoccupation qui anime les responsables de l'université est celle concernant à mettre en place des conditions permettant de créer ce qu'on a appelé la coopération entre universités nationales (université de Boumerdès et université de Bab-Ezzouar) dont un séminaire qui aura lieu au mois de novembre prochain. En ce qui concerne la disponibilité du logement, le recteur de l'université nous fera savoir qu'un quota de 230 logements sociaux participatifs est retenu par la wilaya. Les logements dont la réalisation est confiée aux services concernés sont localisés à l'endroit du nouveau pôle urbain.