Stade Abdelhamid-Bouteldja, temps ensoleillé, pelouse en excellent état, maigre affluence. Arbitrage de Babou secondé par Tchambi et Bouzaghou. Avertissements : Guerili (39'), Methenni (62'), Gasmi Réda (29') JSMS et Daira (43'), Benrabah (45') CAB. Buts : Bouchouk (42'), Bettal Tewfik (58') csc et Bouharbit (64') CAB, Lahmar (54') JSMS. Composition des équipes : JSMS : Boudjeghira, Guerili, Boualleg, Derouaz, Bettal Tewfik, Methenni (Karkabou 69'), Bettal Abderezak, Gasmi Réda (cap.), Loucif (Bouzeraâ 61'), Slimane, Tichtich, Lahmar. Entraîneur : Merabet Nabil. CAB : Babouche (cap.), Bahloul, Daira (Abbas 84'), Kefaifi, Boulediab, Bouchouk, Benamara, Illoul (Messadia 87'), Benrabah (Louanas 69'), Bouharbit et Maïdi. Entraîneur : Yaiche Rezzoug. ,En accueillant dans son fief de Abdlhamid-Bouteldja et pour le compte de la sixième journée de ligue 2, un des postulants à l'accession, la JSMS chez qui on avait senti un léger mieux ces deux dernières semaines, est vite retombée dans ses travers, trahie par un axe central très fébrile. Tout avait pourtant bien commencé pour l'équipe locale qui pêchait surtout au moment de la dernière passe. Mais à la 8' sur une erreur monumentale du défenseur central Bettal Tewfik, Bouharbit adressa un tire croisé à l'intérieur des dix huit mètres, mais le ballon frappa la base du poteau droit. C'était le prélude d'un fiasco annoncé et à la 42' ce qui devait arriver arriva, Bouchouk en position douteuse trompe Boudjeghira à la 48', Loucif était fauché dans la surface de réparation mais l'arbitre ne bronchait même pas. A la 54', les Batnéens ratent lamentablement le KO. Sur la contre attaque, un centre de Slimane Tichtich voyait Lahmar propulser de la tête le ballon dans les filets de Babouche. C'est l'égalisation. A la 54', un coup franc pour le CAB, tiré de la droite vers la gauche et Bettal Tewfik trompa malencontreusement de la tête son propre gardien de buts. A la 64', un énième coup franc pour Batna et Bouharbit déviait le ballon hors de portée de Boudjeghira. Trop, c'en était trop pour la galerie skikdie qui commença à huer son équipe. Le coup de sifflet salvateur de l'arbitre mettait fin au calvaire des Skikdis.