La Caisse des assurances sociales de Constantine (CNAS) a lancé, depuis le début du mois de novembre en cours, un nouveau service électronique désigné par le télépaiement' dédié aux employeurs. C'est ce qu'a indiqué, hier, la sous- directrice des Finances de la CNAS de Constantine, Mme Mounira Khelfallah, dans une conférence de presse, animée conjointement, avec le sous-directeur des recouvrements et du contentieux, Chérif Sahel, au siège de la caisse. Et la conférencière de noter, que depuis le début du mois en cours, il est offert aux employeurs de procéder au règlement de leurs cotisations via le portail électronique mis à leur disposition, à savoir celui de la télé déclaration ou httpd : //teledeclaration. Cnas. dz. Les paiements sont ainsi transmis en temps réel, en toute sécurité, 24h/24 et 7j/7 et ce, sans se déplacer, ni fournir de documents ou autres papiers, précise-t-elle. Et de souligner, que 2 modes de paiement sont proposés, à savoir : le e-paiement, où l'utilisation de la carte interbancaire (CIB), en introduisant le code de paiement de la carte, lors du règlement de l'opération par Internet. Mais aussi le e-banking, ou le virement de compte à compte, à distance, via Internet. Le sous-directeur des recouvrements, fera savoir, pour sa part, que les employeurs peuvent, aussi, régler leurs cotisations en utilisant le terminal de paiement électronique (TPE), qu'ils trouveront installé, aux services de la CNAS et réservé à cet effet. Et les deux responsables de la CNAS, d'insister que toutes ces opérations de règlement à distance sont sûres, garanties et certifiées par la Satim (Société d'automatisation des transactions interbancaires et de monétique). Par ailleurs, ils ont tenus à rappeler que les employeurs qui souhaitent souscrire à un échéancier de règlement pour s'acquitter des cotisations impayées, peuvent encore se rapprocher de la caisse, pour régulariser leur situation et bénéficier, à terme, de l'annulation des majorations et pénalités de retard. Sachant que le délai de régularisation, au titre des mesures exceptionnelles prévues par la loi de finances complémentaire (LFC) 2015, a été prolongé jusqu'au 31 décembre 2016, diront-ils.