A cause de son dopage chronique « médical », Lionel Andrés Messi Cuccittini, Leo Messi, est devenu un phénomène « sportif » spectaculaire qui me fait penser aux contorsionnistes montrés au cirque dont les « numéros » relevaient plus, à l'insu du public profane, d'une tare physique, laxité articulaire pathologique, que d'une prouesse sportive. Léo Messi, 5 fois Ballon d'or, ne devrait sa fulgurante réussite sportive « supranaturelle » qu'à un dopage « médical » au long cours aux hormones. Hormones de croissance ? Il est vrai, qu'en arrivant à Barcelone, La Pulga, La puce, a grandi rapidement de presque 30 cm en 30 mois. Mais si Leo raconte qu'il s'était rapidement habitué à son injection quotidienne, unique traitement, son agent Fabian Soldini affirme : « Je me souviens qu'il devait ingérer cinq (5) pastilles par jour. De quoi ? Je ne sais pas ! ». La posologie conséquente (5 gélules) peut faire penser à un « relais » possible, per os, oral, par des stimulants ( appelés sécrétagogues ) de la sécrétion hypophysaire naturelle. Ou alors, la maladie de Messi serait plus complexe au point où, révélée, elle risquerait de compromettre sa carrière et la trésorerie du Barca. La réussite de Messi, artificielle, est entachée d'un curieux paradoxe, signant son caractère non naturel. Si Léo brille au Barca, il est, à l'inverse de Maradona, décevant avec l'Argentine. Quand il entend dire que Messi est sur la voie de le détrôner, le Roi Pelé rétorque: « Lorsqu'il aura marqué plus de 1300 buts et gagné 3 Coupes du Monde, on parlera ! » Pelé, la Perle Noire, l'or naturel à l'état pur, avait hissé au firmament de la gloire, autant le Brésil, son pays, que son club Santos et avait gagné sa première Coupe du Monde à presque 16ans ! Le talent de Messi est le résultat d'une véritable rééducation médicamenteuse d'un enfant handicapé psychomoteur. Son dopage hormonal « médical » lui confère une extraordinaire « résilience » motrice et une incroyable résistance, confinant à l'insensibilité, à la douleur. Leo, qui chevauche entre les jambes de ses adversaires à la manière d'une course d'obstacles, n'est jamais sérieusement blessé et son visage n'exprime jamais la sensation de la douleur malgré la violence des chocs. Dans un nième classico, lorsque Pepe lui écrase fortement, de son pied, la main au sol, Léo ne regarde même pas le Madrilène. Face à la Juventus, au match retour du Mercredi 20 Avril, après un contact avec un Italien qui l'envoie en l'air avant de retomber, d'un piqué spectaculaire, tête première au sol, Messi se relève avec une petite abrasion de la joue, là où un joueur « normal » se serait gravement luxer une ou deux cervicales. Au classico dernier du 23, lorsque Marcello lui assène un violent coup de coude à la face qui l'envoie au tapis, Léo semble comme étonné de voir tant de sang couler de sa bouche et reprend vite, de plus belle, le jeu. A 10 ans, Messi, haut comme trois pommes ne mesurait qu'un petit mètre et quelques poussières et même le développement de son cerveau était compromis. Son aspect poupin, bouche toujours ouverte, et yeux rieurs, lui donne un discret air mongoloïde et relèverait possiblement d'une affection neuroendocrinienne complexe responsable de retard de développement cérébral. « Durant sa jeunesse, ( ) les gens le pensaient parfois muet ou autiste. ». Journaliste à El Pais, Roman Besa raconte : « Un beau jour, Lionel est rentré sur le terrain avec une cuillère en plastique dans la bouche. Il ne l'a pas lâchée jusqu'à la fin de la séance. C'était une manière de montrer qu'il était contrarié. Pour quelle raison ? Personne ne le savait et personne n'a jamais cherché à le savoir. » Un retard de développement mental, latent, pourrait certainement expliquer les troubles de comportement épisodiques qui rattrapent le joueur. Au cours du dernier match capital Argentine-Chili, Messi, capitaine de l'équipe, insulte de manière incompréhensible et très vulgaire, l'arbitre brésilien pour une banale faute non sifflée. Il écopera de 4 matchs de suspension infligés par la FIFA et sa « sortie » bizarroïde intrigue tout le monde. La légende de Messi reste entourée d'un mystère « médical » et l'opinion publique se doit d'être avertie de l'effet boomerang potentiel des hormones au long cours sur l'avenir, à long terme, du génie atypique du ballon rond. La neuroendocrinologie est une science qui se « recherche » encore et aucune certitude n'est établie; des études scientifiques s'intéressent, par exemple, à cause des interactions hormonales, à l'influence des traitements hormonaux sur le métabolisme des amines biogènes du cerveau, la dopamine et la sérotonine, la première un médiateur chimique qui règle les fonctions motrices et psychiques, impliquée dans des affections neurodégénératives comme l'Alzheimer, et la psychose qui évolue souvent vers la démence. La sérotonine est, quant à elle, mise en cause dans la dépression. La vie de Messi me fait penser à « Charly » le film de Ralph Nelson, sorti en 1969, tiré du roman de Daniel Keyes « Flowers for Algernon » qui a obtenu le Prix Nebula du meilleur roman 1966. Résumé : Le Pr Strauss a réussi l'expérience de développer les « facultés cérébrales » de la souris Algernon par une opération chirurgicale. Il propose le traitement à Charly, un jeune retardé mental qui devient, après l'opération, un garçon à l'intelligence prodigieuse. Mais au labo, Algernon, la souris traitée, donne des signes de dégénérescence cérébrale et meurt rapidement. Et Charly, à son tour, commence à présenter, lentement, des signes de régression mentale