La section syndicale du complexe sportif de la wilaya de Mostaganem (OPOW), apporte un démenti catégorique quant aux informations rapportées par Réflexion dans son édition du 18 avril 2011, relatives à la suspension d'un chef de service au motif que celui-ci aurait été sanctionné pour harcèlement sexuel. Les responsables de la section syndicale rejettent tout en bloc les accusations portées à l'encontre de leur collègue, qui a été blanchi selon eux par le conseil de discipline en date du 14 mars 2011. Aussi, l'accusation d'harcèlement sexuel est non fondée et n'est qu'un pur mensonge fabriqué de toutes pièces par la femme de ménage à l'origine de ces allégation et ces accusations gratuites. Aussi, les mêmes responsables tiennent à signaler que la femme en question âgée de 24 ans et divorcée contrairement à ce qu'elle a déclarée comme étant mariée, a été recrutée par le directeur de l'OPOW en personne. A cet, effet, les responsables de la section syndicale dénoncent encore une fois les manipulations utilisées par le directeur pour nuire non seulement à leur collègue mais à l'ensemble du personnel. Ils insistent par ailleurs que toutes les allégations du directeur ne sont là que pour ternir l'image de marque du personnel et celle de institution toute entière. Comme ils relèvent que l'OPOW, a reçu dernièrement la visite d'un inspecteur central dépêché par le ministère dans le cadre des inspections de routine, et c'est en présence de ce responsable que leur collègue aurait été muté au palais de sport et non pas suspendu de ses fonctions. Mais n'en demeure que cette mutation est illégale compte tenu de l'ancienneté (29 ans de services effectifs) et des fonctions occupées par leur collègue.