Suite à l'article paru sur notre quotidien du 08 et 20-05-2010 ayant trait à l'agent indélicat du filet social qui se livrait aux agissements néfastes envers le personnel de l'APC de Mostaganem par l'harcèlement sexuel, la corruption et l'usurpation de fonction. Il ressort qu'une enquête a été diligenté par les services de la sureté de wilaya dans ce cadre le mis en cause a été auditionné ainsi que deux victimes de sexe féminin faisant partie du personnel communal et le vice président chargés de l'action social de l'APC. Ces derniers ont affirmé, durant l'interrogatoire les faits rapportés, et maintiennent leurs déclarations visent une poursuite en justice, contre cet agent. A signaler que le mis en cause dans cette affaire a été suspendu et que celle-ci remonte au mois de mai 2010, lorsqu'un agent un ex terroriste repenti exerçant la fonction de pointeur au département de l'action sociale et de la culture , qui avait reçu un pot de vin de 5000 Da, d'après un des agents qui devait être relevé de ses fonctions, pour avoir oser harceler sexuellement une employée de l'APC , qui se serait plainte à son supérieur, qui en informa le maire, afin de prendre les mesures nécessaires pour ce grave incident. Mais rien n'aurait été entrepris contre l'individu mis en cause dans cette affaire d'harcèlement. Depuis les élus de l'APC de Mostaganem, ne décolèrent toujours pas, au vu de la situation, qui traine et qui n'a que trop durée, concernant le mis en cause, qui est toujours maintenu en poste aux dernières nouvelles et ne cesse de narguer certains responsables, d'où l'impunité de ses actes et qui n'en continu pas moins d'alimenter les discussions. Un tel comportement met en lumière, que celui-ci ne peut agir impunément, que sous la couverture de certains responsables de la commune, qui laissent faire cet agent qui fait la pluie et le beau temps selon les informations recueillies. Dans ce même sillage il apparaîtrait, que cet agent avait déjà fait l'objet de plaintes, concernant d'autres harcèlements sexuels contre des employées ainsi qu'il serait incriminés dans des tentatives de corruption. Dans ce contexte il y a lieu de rappeler que Le 24 avril 2010 une employée avait déjà déposée plainte à son encontre pour harcèlement sexuel et pour avoir tenté de lui soutirer de l'argent, La plainte avait été déposée au niveau de la DECAS, en présence du directeur de la règlementation et des affaires générales « DRAG » , selon les déclarations de la plaignante, il lui aurait alors demandé 2000,00 Da pour la changer de poste, sans oublier les harcèlement téléphoniques, d'où les enregistrements qui font foi. De ce fait il est inutile d énumérer les autres accusations portées à l'encontre du mis en cause, aussi devant une telle situation plus qu'inadmissible à plus d'un titre et malgré la résiliation de son contrat, Faisant fit de toute autorité il n'en continue pas moins dans ses agissements, sans qu'il ne soit inquiété, alors qu'il n'est qu'un simple agent contractuel et qui a été recruté dans le cadre du filet social avec un solde mensuel de 3000 Da. Cette affaire ne cesse de défrayer la chronique et reste un pavé dans la marre pour l'APC de Mostaganem et qui à ce jour mine l'assemblée en question autour de ce sujet de discorde, dont on n'a pas fini d'entendre parler. Aussi selon les informations recueillies cet agent continue comme si de rien n'était et demeure toujours à son poste aux dernières nouvelles. Il est à se demander, pourquoi un tel mutisme sur une affaire qui relève de la crédibilité des responsables qui sont à la tête de l'APC et qui ferment les yeux sur une affaire d'harcèlement qui dure sans que le mis en cause ne soit sanctionné, bien au contraire il semblerait que celui-ci soit bien protéger, pour oser défier tous les élus et responsables à ce jour, On aura tout vu à Mostaganem.