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L'algérien a perdu confiance en la classe politique
LA VERITE SUR LA CRISE EN ALGERIE
Publié dans Réflexion le 24 - 11 - 2011

La majorité des algériens a perdu confiance en la classe politique, voilà une nouvelle qui enfonce le thermomètre dans toutes les prétentions des prétendants et qui rassure au moins sur la lucidité des citoyens qui cherchaient à voir au moins le bout du tunnel.
L'Algérie tourne en toupie folle, les dangers s'amoncellent, les équilibres politiques chavirent, l'intégrisme religieux impose dans la rue et le marché sa volonté, le dinar n'a aucune valeur, des milliards de dollars dans les tiroirs du trésor, la violence fait frémir, le trafic de drogue règne en maître, des dealers partout dans chaque quartier. Le favoritisme, la corruption, le non respect des lois, les violations du code de la route, le mépris…. Tous ces maux existent dans chaque pays, surtout en cette période de crise économique qui frappe l'Europe. Mais dans notre pays ils sont néanmoins très exceptionnels. Présents parmi nous du matin au soir. Pendant ce temps, sur le théâtre-comique médiatique, les mêmes acteurs fatigués par des années de métier militant mobilisateur, débitent ce qui leur sert d'idéal, plaire, tenir, durer, garder la place, avoir belle figure dans le miroir aux mille mensonges, aux mille générosités payées par les taxes imposées aux pauvres contribuables dans chaque facture, même dans celle d'une eau dite potable, alors qu'elle est imbuvable, quoi qu'il en coûte, même au prix de reniement, de revirement, de déguisement, sans tenir aucun compte de cette nouveauté : Les Algériens (la majorité pauvre) souffrent d'une souffrance qui ne supporte plus la négation du réel. Nous sommes devant une vérité qui ne se cache pas, c'est la vérité d'une méfiance entre gouvernant et gouverné, entre nouveaux riche et classe moyenne appauvrit par les privatisations en cascade, les compressions des travailleurs et les départs dits volontaires. On n'a plus la fierté des usines que les révolutionnaires au sein du Conseil de la Révolution avaient réalisés durant les années soixante-dix… L'adversité, maintenant, elle leur rit au nez, ils la voient en face. C'est ça, la vérité de la crise. Elle dégrise, elle désenchante, on ne croit plus aux bobards, on n'accepte plus les solutions de bricolage. Les fondements démocratiques vacillent, des antis émeutes mobilisés et bien nourris, bien payés avec rappel, un syndicat UGTA qui enfonce le clou dans le cercueil des travailleurs résiduels, des retraités et des étudiants, cet union général a mal défendu le SNMG et a tout de même le culot d'accepter le taux de 18 000 DA. En quelques lignes, c'est le grand désordre confronté à l'impuissance morale des politiques, les mêmes qui détiennent le pouvoir depuis des années sous des étiquettes différentes, mais les mêmes, qui ont perdu, aujourd'hui, toute crédibilité à force de fanfrelucher par la seule communication sur les malheurs des hommes, sans oser faire les réformes qui changent vraiment le pays ! L'indignation de certains politiques serait –elle une réponse aux discours du chef du gouvernement !

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