La thèse selon laquelle Mohamed Merah serait l'auteur des récentes tueries de Toulouse est sérieusement mise en doute, il y a beaucoup de vérités révélées après sa mort qui convergent vers l'idée qu'il ne soit pas l'assassin de Toulouse. Aucune preuve tangible ne relie Mohamed merah aux meurtres de toulouse et Montauban. Un témoin oculaire des meurtres de Montauban ayant déclaré de façon claire que le tireur, qui portait toujours un casque de moto, était « corpulent ». Des témoins sur place rapportent que « Suite à la "tuerie dans l'école juive", ni le SAMU, ni les pompiers n'ont été prévenus et ne sont arrivés sur les lieux... ; Aucun médecin légiste n'était sur place, comme le veut la procédure légale en cas de meurtre, pour constater les décès ; au lieu de quoi le ministre de l'Intérieur et le grand rabbin de France étaient sur les lieux. Aucune autopsie n'a été pratiquée sur les "victimes" qui ont aussitôt été expédiées en Israël. Beaucoup se posent la question de savoir, Pourquoi l'école juive a t-elle été envahie d'une horde de journalistes et d'officiels étrangers à l'enquête alors qu'elle était supposée être "une scène du crime" ? Pourquoi l'avocat des Merah n'a t-il pas été entendu à ce jour ? Pourquoi une telle intrusion de la part des politiques dans une enquête policière pendant cette période électorale ? Autant de questions qui ont fait dire à plus d'un qu'a titre posthume, Mohamed Merah bénéficie de la présomption d'innocence. MOHAMED MERAH EST INNOCENT JUSQU'A CE QUE SA CULPABILITE SOIT PROUVEE Faisait la fête en boîte de nuit quelques semaines avant sa prétendue folie meurtrière, avait des antécédents de délits mineurs, et devait voir le juge en avril pour une histoire de conduite sans permis. Il se serait aussi rendu en Israël, en Afghanistan et au Pakistan pour des raisons inconnues à ce jour - peut-être pour y subir un « endoctrinement idéologique ». Beaucoup de zones d'ombre persistent dans cette affaire obscure. Il est clair que Merah ne devait pas sortir de cet appartement vivant. Pourquoi ? Parce qu'alors, il aurait été en mesure de dire la vérité - à savoir qu'il n'a pas abattu ces trois soldats ni l'enseignant et les enfants de l'école juive. Vivant, il aurait pu raconter qu'il avait été contacté en prison par les services de renseignement français, qui lui avaient proposé un « marché », dans lequel il devait, en tant que musulman, se rendre en Afghanistan « sous couverture » pour rapporter des informations aux renseignements concernant les activités de certains groupes. Un processus de « sheep dipping » une expression qui dans le monde du renseignement, désigne le fait de brouiller les liens entre un agent des services secrets et ces derniers, en le plaçant au sein d'une organisation légitime dans le but d'établir une fausse crédibilité, pour infiltrer ou subvertir des groupes ou organisations rivales, consistant à lui fournir une seconde identité/une double vie qui pourrait être utilisée contre lui par la suite. Merah ne devait pas sortir de cet appartement vivant parce qu'il aurait pu raconter qu'on lui avait arrangé un voyage en Israël et qu'il était entré en contact avec les renseignements israéliens. Certains citoyens français, en qualifiant cette affaire de « nouveau complot politico-médiatique, soutiennent que beaucoup d'interrogations viennent à l'esprit, notamment pourquoi maintenant juste en période électorale dont l'issue semblait incertaine, voire un risque de changement radical de paysage politique. . Selon les affirmations du ministre de l'intérieur, cet individu serait surveillé depuis quelques années déjà. Comment se fait-il que les services français pourtant réputés très efficaces n'aient pu empêcher ces attentats, alors même qu'aucun musulman n'échappe à la surveillance de ces services et a fortiori ceux qui ont effectués des voyages en Afghanistan ou au Pakistan? Il est démontré que les services occidentaux fabriquent l'opinion et manipulaient les auteurs des attentats imputés aux islamistes, allant jusqu'à les inciter à passer à l'acte, voire, les recruter en se faisant passer pour une organisation terroriste. « Une chose est sure, c'est qu'il y a des victimes et un ou des tueurs. Mais nous ne connaissons pas l'identité du (des) tueur(s). Rien ne prouve qu'un de ces tueurs soit Mohamed Merah, Mohamed Merah est le lapin blanc sorti du chapeau des sorciers sionistes pour garantir la réussite d'une opération criminelle préméditée aussi sordide que dramatique, et visiblement montée de toutes pièces par les plus hautes autorités de l'Etat dans le but de favoriser un candidat que les sondages donnaient pour perdu à l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy, afin qu'il poursuive sans relâche son travail de casse générale de la nation France et d'impérialisme guerrier dans tout l'Orient. » Ecrit un observateur. Ce qui confirme les mensonges dans les déclarations des officiels français et consolides la piste du complot, la version du patron de l'unité L'intervention du RAID et qui explique qu'aucune balle “réelle” n'a été tirée sauf au moment où Mohamed Merah a tenté de sauter sur le balcon pour viser les hommes du RAID. Or d'après l'autopsie, plus de 30 balles ont été retrouvées dans le corps du défunt dont une dans la tête. Par ailleurs, Les hommes du RAID sont entraînés pour viser les endroits qui mettent hors d'état de nuire sans tuer… Christian Prouteau fondateur et ex-commandant du GIGN a exprimé sa dé-concertation devant un tel assaut. Il se demande même si un plan a été mis en place, car de simples grenades lacrymogènes auraient suffit, ou mieux, on aurait dû attendre qu'”il sorte une dernière fois pour l'attraper tranquillement dans notre souricière”. MOHAMED MERAH, UN AGENT DES SERVICES DE RENSEIGNEMENTS FRANÇAIS ? Mohamed Merah, se serait rendu en Afghanistan et en Israël en 2010 avec la bénédiction de la DGSE, les services secrets français, qui l'utilisaient comme «informateur». Selon le quotidien italien «Il Foglio», cité par Arrêt sur images, Mohamed Merah, auteur présumé de sept assassinats dans le sud-ouest de la France, se serait rendu en Israël puis en Afghanistan en septembre 2010 avec la caution de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE), en échange de la fourniture d'informations aux services secrets français. L'agence française en charge de l'espionnage et du contre-terrorisme à l'extérieur du pays l'aurait utilisé comme «informateur». Un accord aurait même été passé: la liberté de mouvements en échange d'informations précieuses. Mohamed Merah est arrivé en septembre 2010 par le pont Allenby, qui relie la Jordanie à la Cisjordanie, occupée par Israël, selon les sources sécuritaires israéliennes. Il a pu venir en compagnie d'autres ressortissants français. Entré avec un visa de tourisme israélien, le jeune homme est reparti trois jours plus tard par le même pont Allenby. Après ce séjour en Israël, le présumé tueur au scooter serait retourné en Jordanie d'où il s'est envolé pour l'Afghanistan. Son entrée en Israël, couverte par les services secrets français, aurait eu pour but de démontrer qu'un réseau djihadiste avait la capacité de passer à travers la frontière avec un passeport européen. Aucune confirmation officielle n'est apportée par le quotidien italien. Il évoque cependant une confirmation indirecte dans le journal israélien «Haaretz», qui cite des sources du Shin Bet, les services secrets israéliens. «Il Foglio» raconte que le passage de Merah dans les Territoires palestiniens, suggéré par le patron du renseignement français Bernard Squarcini, n'est pas prouvé. De même, une éventuelle arrestation de Merah à Jérusalem pour port d'un couteau n'a laissé aucune trace. Par ailleurs, les services secrets palestiniens ont affirmé à l'agence AP que les Français, par l'intermédiaire des services secrets, avaient tout intérêt à faire infiltrer des jeunes ayant le profil de Merah dans des camps de formation de djihadistes au Pakistan et en Afghanistan. Dans le quotidien toulousain «La Dépêche», Yves Bonnet l'ancien patron des services de renseignements français s'interrogeait sur un éventuel rôle de «correspondant» du meurtrier auprès des renseignements intérieurs. «Le garçon avait manifestement des relations avec la DCRI comme on l'a appris à travers les déclarations de Bernard Squarcini lui-même. C'est-à-dire qu'il avait un correspondant au Renseignement intérieur. Alors appelez ça 'correspondant', appelez ça 'officier traitant'… je ne sais pas jusqu'où allaient ces relations, voire cette 'collaboration' avec le service, mais on peut effectivement s'interroger sur ce point». LA PISTE DU TROISIEME HOMME OU LA SUITE DU SCENARIO Depuis l'annonce mardi de l'envoi à la chaîne de télévision qatarie Al Djazira d'un pli contenant une lettre de revendication au nom d'Al Qaida et surtout une clé USB où figurait un montage des images des meurtres de trois militaires et de quatre personnes de confession juive, accompagné de musiques et de chants religieux, les enquêteurs sont à nouveau sur le pied de guerre. Ils cherchent à déterminer qui est l'expéditeur du colis et s'il existe un nouveau complice. Même si le cachet postal du centre de tri de Castelnau-d'Estrétefonds – une plate-forme de tri - à environ 25 km au nord de Toulouse - est daté de mercredi dernier, le pli aurait pu être posté mardi soir par Mohamed Merah lui-même, avant qu'il ne fasse l'objet d'une surveillance policière. Néanmoins, les autorités travaillent sur une autre hypothèse: l'envoi du colis par un complice mercredi matin. Le jeune homme d'origine algérienne ne possédait pas d'ordinateur chez lui pour préparer le montage de copies des films pris avec la mini-caméra qu'il aurait porté sanglée sur lui lors de ses prétendus meurtres à Montauban et Toulouse. Lors du siège de son appartement, le présumé tueur au scooter avait annoncé au RAID qu'il avait filmé ses actes et transmis les images à «des frères» pour qu'ils les postent sur Internet.«Des frères» ou un seul complice? C'est l'une des nombreuses interrogations qui demeurent. Selon les informations recueillies par Europe 1, les enquêteurs travaillent sur l'hypothèse d'un troisième homme qui aurait pu prendre part au vol du scooter ou être présent lors de la visite à un concessionnaire de la marque Yamaha – Mohamed Merah souhaitait faire désactiver le système de détection par satellite de son véhicule volé. Est-ce la même personne qui a envoyé le colis? «La vidéo ne montre pas le visage de l'assassin, pas plus qu'elle ne contient de déclaration de lui, souligne Al Jazeera. L'attaquant a semblé agir seul.» «Il y a eu un mixage de musiques et de chants religieux, des lectures, des récitals de versets coraniques», a ajouté sur le sujet Zied Tarrouche, chef du bureau parisien d'Al Jazeera. Après avoir reçu mardi matin les acteurs de l'opération ayant abouti à la mort de Merah, Nicolas Sarkozy avait appelé «les responsables de toutes les chaînes de télévision à ne les diffuser sous aucun prétexte, par respect pour les victimes, et par respect pour la République». En déplacement à Guérande (Loire-Atlantique), le président de la République a salué «une décision raisonnable». Il s'est également déclaré prêt à faire brouiller les images si elles étaient diffusées. «Si elle devait être détournée par des télévisions appartenant ou proches d'organisations propageant des idées terroristes, nous n'hésiterions pas à faire ce qu'il faut pour empêcher la diffusion du signal», a-t-il déclaré. Que veut-on cacher à l'opinion publique ? NICOLAS SARKOZY, AL JAZEERA ET LE CRIF, UN MEME COMBAT Dans une initiative rarissime, la chaîne avait été assignée au civil par le parquet de Paris en référé pour empêcher la diffusion de cette vidéo. Al Jazeera s'est vue intimé l'ordre de ne pas diffuser les images des tueries de Toulouse, par le président français Nicolas Sarkozy lui-même et de remette à la justice les copies dont elle dispose. Le directeur de cette chaîne domiciliée au Qatar s'est exécuté sans mot dire, , au nom de la défense de l'ordre public et notamment de la protection des victimes des tueries.. Le directeur d'Al-Jazira France, Zied Tarrouche, a alors " annoncé qu'il était obligé d'en transmettre un exemplaire à sa direction qatarie ", Klugman a toutefois exigé qu'une décision visant à interdire la diffusion soit rendue par le tribunal. Ce dernier rendra sa décision mercredi à 17 heures. Le site Islametinfo publie une réflexion selon laquelle « La tuerie de Toulouse est le nouveau “11 septembre” pour l'Occident, en témoignent les condamnations du Vatican, Washington ou encore plus logiquement de Tel Aviv. Ainsi 70 ans après la shoah, les juifs ne seraient plus en sécurité en France, pire ils sont de nouveaux massacrés sans pitié en témoignent les dires de Mohamed Merah (le présumé coupable): «Il n'exprime aucun regret», sinon celui de «ne pas avoir fait plus de victimes». Comment se fait-il que Prasquier (patron du CRIF) et pire encore, Goldnadel chez Ménard aient proclamé les revendications du jeune homme de Toulouse avant lui ?! Ainsi, lundi déjà Prasquier osait déclarer y voir « à titre personnel » la piste de «l'islamisme radical ». Goldanadel quant à lui exposait clairement les revendications du “présumé coupable” en mélangeant Palestine et Islam radical. Enfin, d'après le site Das-Baham, le ministre chinois des Affaires étrangères, Yang Jiechi, aurait annoncé dans un communiqué que l'attaque envers le présumé tueur est une manipulation politique visant à renforcer la victimisation d'Israël. Il aurait ajouté à son communiqué son étonnement au fait qu'Israël était au courant depuis mardi de l'heure de l'assaut et que, dès lundi, les synagogues ont été mises sous haute surveillance aux Etats Unis… Tout cela pour faire générer un drame mondial. Les mensonges et manipulations, ont fait parlé Mérah même après sa mort en lui faisant faire des déclarations qui ont tenté de faire avaler la couleuvre à l'opinion publique mais les contradictions étant trop nombreuses, les auteurs de ce complot ont échoué dans leur exploit.