Le littoral Mostaganémois reste l'un des sites touristiques les plus convoités par les mutuelles et les fonds des ouvres sociales de tant de secteurs économiques du pays, de par la beauté sans égal de ses panoramas côtiers ou ses fourrés verdoyants se marient magnifiquement avec ses plages dorées. Des l'annonce des premières chaleurs, ses multiples camps de toile, longeant la côte Mostaganémois, sont pris d'assaut par les entreprises publiques qui les louent le long d'années aux A.P.C détentrices de ces centres ou l'ambiance familiale et la détente y règnent en maitresses des lieux. Ainsi ? l'un de ces merveilleux centres de vacances, a fini par nous attirer par la joie qui régnait et surtout son ambiance familiale qui unissait ses vacanciers, venus des 04 coins du pays, ce joli coin était loué à l'année par le fonds des ouvres sociales de la SONELGAZ, il appartenait à la commune de Ouled Boughalem, qui se chargeait de son alimentation quotidienne en eau potable et de la collecte journalière des ordures ménagères. Il était juste à quelques centaines de mètres du rivage de rêve d'El Bahara, sa gestion était entre les mains d'une formidable directrice, Mme. BENSAID Malika, qui lui en plus grâce à son savoir et son expérience, une image des plus chaleureuses et accueillantes, elle a agrémenté le séjour de ses invités par l'organisation de tournois sportifs, de concours de culture générale, de jeux éducatifs, et surtout par l'animation en soirée, par un disc-jockey, qui égayait les nuits des vacanciers, par de tubes en vogue de l'été. En ce qui concerne la sécurité, elle était chargé des jeunes agents de sécurité, secondé par un gardien de nuit, engagé par l'A.P.C, ils veillaient durant toute la nuit, a assurer la quiétude des biens et des personnes du lieu, sans la moindre défaillance. Quant à l'hygiène et l'entretien des lieux, 04 femmes de manage se chargeaient quotidiennement de l'entretien des toilettes publiques et des cuisines collectives, et s'occupaient également du ramassage des saletés et autres restes éparpillés à travers les cours. Quant aux vacancières, elles n'avaient que la préparation des repas a faire au sein des cuisines collectives, l'entretien de leurs tentes qui leur servaient de gîtes, et le lingue a laver auprès de la buanderie commune, e, s'échangeant les nouvelles du jour et surtout en de plus connaissances .Quant à leurs messieurs, ils avaient un large choix, ils pouvaient se détendre et se prélasser après une bonne année de labeur, sous les parasols, sur des chaises longues en feuilletant « REFLEXION » qui se cherchait à 50 kilomètres du lieu, à Sidi Lakhdar en particulier et qui était très lu, par ces estivants venus des autres villes du pays (Oran, Tlemcen, Alger, Blida, Béchar, Laghouat, Tiaret, Saida, etc. …) qui voulaient en savoir plus sur Mostaganem par le biais du journal, en ayant un autre œil sur les enfants qui jouent au loin, ou s'offrir de longues batailles de pétanques entre les triplettes d'amis de la circonstance, malheureusement, cette formidable chance n'est pas offerte à l'ensemble des travailleurs, tirage au sort est établi, pour départager les postulants à ces vacances à bon prix, dont la somme ne dépasse guère les 5000 dinars pour une famille de 05 membres pour un inoubliable et agréable séjour d'une douzaine de jours sur un coin du paradis Mostaganémois … !