De quelle côté de la barrière se situent les musulmans face aux drames de l'immigration qui coutent la vie à des centaines de victimes voire des milliers, et à la misère des peuples qui luttent contre la précarité, en particulier Africaines, dont leur seul tort, c'est d'aller rechercher une meilleure vie vers les « Eldorados Européens » à la quête de «Châteaux en Espagne » qui on l'a constaté s'occupent de leur ressortissants, malgré la conjoncture et la crise à laquelle ils sont confrontés et dont ils savent faire face. Ces grandes puissances certes ne sont pas riches, mais par contre elles savent maitriser la Technologie, un outil de gestion et de richesse qui dépasse tout le pétrole et les richesses que possèdent les espaces arabes. C'est pourquoi plus d'un, se demande, quelle est la réaction de ces arabes qui se disent musulmans , ces riches nababs des pays les plus riches de la planète qui trompent l'opinion mondiale en faisant semblant de croire en Dieu, en pratiquant les « cinq piliers de la religion Musulmane, dont la « Zakat et l'Aumône », face à la misère des démunis de certains continents, dont l'Afrique qui traverse la plus grave crise de son histoire, en raison de la sécheresse, de la misère, du chômage qui a atteint son paroxysme, et qui est l'une des principales causes de l'exode de ces familles crevant de faim et qui n'espèrent plus rien de leurs gouvernants qui sont incapables de maitriser une telle situation des plus catastrophiques, provoquée dans la plupart des cas par certains pouvoirs et gouvernements qui se sont succédés à la tête de certains pays qu'ils ont hélas détruits par les détournements, et la mauvaise gestion. Contrairement à tout cela, ces soit disant Emirs des pays du Golfe font profiter en stockant leurs fortunes qui se chiffrent en milliards de Dollars dans les pays les plus aisés du monde qui enveniment la planète en provoquant des guerres fratricides et intestines pour vendre leur arme et en tirer profit de la vulnérabilité et de la faiblesse de ces pays pauvres déjà détruits par leurs propres gouvernants.