Cet établissement sous tutelle du ministère de la formation et de l'enseignement professionnel accueille actuellement 825 stagiaires dont 824 en formation essentielle et le reste en demi-pension. Ce centre de formation professionnelle est à vocation nationale à l'instar des homologues de Mostaganem, de Tlemcen ou de Constantine. Les candidats y affluent de tous les coins pour suivre une formation de 18 mois dans l'une des douze filières de spécialités dispensées à savoir, l'ébénisterie, la sculpture sur bois, la didanerie, le tissage, la broderie, la bijouterie, la poterie, la céramique, la couture traditionnelle etc… l'encadrement pédagogique des 14 sections existantes est assuré par 28 professeurs d'enseignement professionnel et un chef de section. Ils se recrutent parmi les maîtres artisans aguerris ayant pris le métier de père en fils tel le comptoir des, merveilles d'Oran crée en 1938 pour la haute couture traditionnelle. Les ébénistes de Sidi Hasni et les tapissiers du tapis Angora d'Oran. Hormis les bijoux et le tapis qui sont respectivement des reproductions artisanales des modèles de la région entièrement rehaussés avec des motifs berbères, les autres objets de dinanderie et l'ébénisterie sont décorés avec mosaïque de style où l'on retrouve le cachet oriental, les arabesques, l'andalou et mauresque explique M. Kharroubi Habib directeur de l'établissement. Bien que, doté d'une bibliothèque qui se s'en désemplit pas, ce centre accuse selon des formateurs un déficit en documentation artistique notamment en ce qui concerne, les motifs de la décoration. Même les icones existantes sont interprétées dernièrement quant à leur signification conventionnelle. Le plus souvent, elles sont produites machinalement sans en savoir le sens exact a relevé un PEP de l'atelier des bijoux. Pour ne pas être en reste de nouvelles technologies, cet établissement s'est équipé de 2 laboratoires d'informatiques destinés à l'initiation des stagiaires à raison de 4 heures par semaine dans l'optique de les préparer à l'accès à des banques de données inhérentes au domaine de l'artisanat pour plus de créativité artistique selon son directeur à l'exception des bijoux qui ne sont pas entièrement apprêtés à l'usage faute de corail sur le marché souligne-t-on, ainsi il est fait état de bracelets, de pendeloques, de fibules et autres montures attendant le centre de formation professionnelle adultes « Ahmed Ben Abderrezak d'Oran est à vocation nationale à l'instar des ses homologues de Mostaganem, de Tlemcen et de Constantine. Les candidats y affluent de tous les coins pour suivre une formation, de 18 mois dans l'une des douze filières des spécialités dispensées, à savoir l'ébénisterie, la sculpture sur bois, la dinanderie, le tissage, la broderie, la bijouterie, la poterie, la céramique l'habit traditionnel etc… l'encadrement pédagogique des 12 sections existantes est assuré par 28 professeurs d'enseignement professionnel et un chef de section. Ils se recrutent parmi les maîtres artisans aguerris, ayant pris le métier de père en fils tels le comptoir des merveilles d'orient, crée en 1938, haute couture traditionnelle, les ébénistes de Sidi El Hasni ou les tisseuses de tapis d'Oran. Hormis les bijoux et le tapis qui sont respectivement des reproductions artisanales des modèles de la région entièrement rehaussés avec des motifs, berbères, les autres objets artisanaux de dinanderie et d'ébéniste sont décorés avec une mosaïque de styles où l'on retrouve le cachet oriental, les arabesques, l'andalou et mauresque explique. M. Kerrouche habib directeur du CFPA. Bien que doté d'une bibliothèque qui ne désemplit jamais, ce centre accuse selon des formateurs, un déficit en documentation artistique, notamment en ce qui concerne les motifs de décoration. Même les icônes existantes sont interprétées dernièrement quant à leur signification conventionnelle. Le plus souvent, elles sont reproduites machinalement sans en savoir le sens exact a relevé un PEP de l'atelier des bijoux, pour ne pas être en reste des nouvelles techniques et technologies. Cet établissement s'est équipé de deux laboratoires d'informatiques destinés à la l'initiation des stagiaires à raison de quatre heures par semaine dans l'optique de les préparer à l'accès à des banques de données inhérente au domaine de l'artisanat une manière d'allier la tradition à la modernité pour plus de créativité artistique selon l'expression de son directeur : selon les gestionnaires du CFPA « Ahmed Ben Abderrezèk, tous les produits fabriqués dans les ateliers du centre fruit de la patience et de la passion sont destinés à la vente et trouvent facilement acquéreurs à l'exception des bijoux qui ne sont pas entièrement apprêtés à l'usage, faute de corail sur le marché souligne-t-on. Ainsi il est fait état d'un stock appréciable cumulé depuis 2001, de bracelets, de pendeloques, des fibules et autres montures attendant.