Les usagers directement concernés par le projet de la route qui relie toute la ville de Tissemsilt à la région Est en se dirigeant vers Bougara ont depuis quelque temps multiplié les dénonciations et avec leur seule revendication qui est l'achèvement du tronçon entre le service des urgences de l'hôpital et le centre universitaire. Ces usagers notamment les transporteurs des étudiants ne cessent de se plaindre à qui de droit des désagréments causés par les travaux engagés sur un des deux sens de cette route, l'installation d'une conduite semble s'éterniser et par la même pénaliser tous les usagers. En effet, cette montée revendicatrice, nous indiquent-on, est motivée par le fait que la rentrée universitaire a bel et bien été lancée engendrant un grand flux de bus et une activité de circulation très concentrée. Cette situation est dénoncée par les usagers qui voient que la circulation les pénalise au plus grand degré et que ces travaux sont devenus un chantier qui échappe au contrôle, un petit projet d'un tronçon routier qui ne dépasse même pas les cinq cent mètres linières mais qui traîne depuis quelque temps et qui fait couler beaucoup d'encre quant aux malfaçons constatées dans les travaux et le retard accusé dans la réalisation, les usagers ainsi que les habitants des quartiers avoisinants traversent depuis quelques jours une période de mécontentement sans égal quant aux étudiants, c'est l'anarchie totale ces jours-ci notamment devant la porte du centre universitaire où les bouchons sont insupportables. Cette situation qui perdure a causé des dégâts plus importants qu'on le pensait, la fermeture de la route à la circulation tout au long de cette période et le retard qu'elle accuse ont sérieusement perturbé le train de vie des citoyens, il est à préciser que les contraintes soulevées concernant la circulation et sur le volet transport des étudiants sont très pénalisantes, une situation qui s'est répercutée négativement sur le commun des usagers au moment où certains services concernés par le suivi ainsi que les responsables locaux sont restés sans bouger et sans réaction coercitive contre l'entreprise réalisatrice du moment que la durée de réalisation a pris un si long temps pour un projet qui n'est relativement pas consistant ou sous d'autres cieux, un projet pareil ne durera certainement pas plus qu'un mois de réalisation, c'est dire qu'on a un grand retard à rattraper dans ce sens.