Les nombreux usagers empruntant le train Thénia-Alger ne savent plus à quel saint se vouer face aux retards enregistrés sur ces navettes et qui pénalisent grandement autant étudiants que travailleurs contraints d'emprunter ce mouen censé être plus rapide. Le train de mardi dernier a même accusé un retard de... quatre heures, nous diront des usagers qui se sont rapprochés de notre rédaction. Evidemment, ce retard d'une demi-journée s'est répercuté immanquablement sur les horaires des autres navettes sur la même ligne. Il faut dire que ces automotrices, dont la vélocité a tant été vantée lors de leur mise en circulation, se traînent à une allure exaspérante sur les rails. Cela est encore plus compliqué par le nombre des usagers qui occupent des wagons bondés à un point inimaginable empêchant de ce fait la fermeture des portes et vu que les automotrices ne peuvent repartir avant la fermeture de toutes les portes il est facile d'imaginer le retard enregistré au niveau de chaque gare. Le stress des usagers est palpable à l'intérieur de wagons surchauffés où la climatisation ne peut faire grand chose. L'un d'eux nous dira à ce propos : « D'habitude je prend le train à 7h10 à Dar El-Beïda. Mais aujourd'hui et à la même heure, j'ai pris le premier train alors qu'il devait démarrer bien avant. Avec ça je suis arrivé après une heure de temps à la gare Agha ». Le même usager nous explique que le train avançait à un rythme curieusement lent pour ainsi dire, nous dira-t-il, au ralenti. Les causes du ralentissement de l'allure de ces trains restent curieusement inexpliquées pour les usagers. Ces derniers sont toutefois unanimes pour affirmer que le train se traîne sur les rails. En fait aucune explication n'a été communiquée aux usagers quant au rythme anormalement lent des trains et les usagers bloqués dans les rames de ce tortillard "trainard" sont obligés de prendre leur mal en patience n'ayant pas d'autre recours. Un étudiant abordé à la gare Agha nous dira avec amertume : « Comment peut-on affirmer que notre pays est en voix de développement alors qu'on ne donne aucune importance au temps ». Il est à rappeler que la plupart des habitués de ce train sont des travailleurs ou des étudiants. Ces retards leur causent, sans aucun doute, moult embarras et participe à chambouler complètement leurs emplois de temps. Il faut dire que ces personnes optent justement pour le train afin d'éviter les bouchons inévitables sur les routes et arriver ainsi à l'heure à leur boulot. Cette perte d'un temps tellement précieux pour les tranches actives de la société n'a ainsi aucune justification claire du côté de la Société nationale des transports ferroviaires. Pour tenter d'avoir des informations à ce sujet, nous avons tenté de contacter le département de communication de la SNTF à Alger. Malheureusement il n'y avait apparement personne à l'autre bout du fil pour décrocher. Il reste à dire qu'il faut certainement répondre aux attentes des usagers en renforçant les navettes pour éviter ces situations stressantes. Les nombreux usagers empruntant le train Thénia-Alger ne savent plus à quel saint se vouer face aux retards enregistrés sur ces navettes et qui pénalisent grandement autant étudiants que travailleurs contraints d'emprunter ce mouen censé être plus rapide. Le train de mardi dernier a même accusé un retard de... quatre heures, nous diront des usagers qui se sont rapprochés de notre rédaction. Evidemment, ce retard d'une demi-journée s'est répercuté immanquablement sur les horaires des autres navettes sur la même ligne. Il faut dire que ces automotrices, dont la vélocité a tant été vantée lors de leur mise en circulation, se traînent à une allure exaspérante sur les rails. Cela est encore plus compliqué par le nombre des usagers qui occupent des wagons bondés à un point inimaginable empêchant de ce fait la fermeture des portes et vu que les automotrices ne peuvent repartir avant la fermeture de toutes les portes il est facile d'imaginer le retard enregistré au niveau de chaque gare. Le stress des usagers est palpable à l'intérieur de wagons surchauffés où la climatisation ne peut faire grand chose. L'un d'eux nous dira à ce propos : « D'habitude je prend le train à 7h10 à Dar El-Beïda. Mais aujourd'hui et à la même heure, j'ai pris le premier train alors qu'il devait démarrer bien avant. Avec ça je suis arrivé après une heure de temps à la gare Agha ». Le même usager nous explique que le train avançait à un rythme curieusement lent pour ainsi dire, nous dira-t-il, au ralenti. Les causes du ralentissement de l'allure de ces trains restent curieusement inexpliquées pour les usagers. Ces derniers sont toutefois unanimes pour affirmer que le train se traîne sur les rails. En fait aucune explication n'a été communiquée aux usagers quant au rythme anormalement lent des trains et les usagers bloqués dans les rames de ce tortillard "trainard" sont obligés de prendre leur mal en patience n'ayant pas d'autre recours. Un étudiant abordé à la gare Agha nous dira avec amertume : « Comment peut-on affirmer que notre pays est en voix de développement alors qu'on ne donne aucune importance au temps ». Il est à rappeler que la plupart des habitués de ce train sont des travailleurs ou des étudiants. Ces retards leur causent, sans aucun doute, moult embarras et participe à chambouler complètement leurs emplois de temps. Il faut dire que ces personnes optent justement pour le train afin d'éviter les bouchons inévitables sur les routes et arriver ainsi à l'heure à leur boulot. Cette perte d'un temps tellement précieux pour les tranches actives de la société n'a ainsi aucune justification claire du côté de la Société nationale des transports ferroviaires. Pour tenter d'avoir des informations à ce sujet, nous avons tenté de contacter le département de communication de la SNTF à Alger. Malheureusement il n'y avait apparement personne à l'autre bout du fil pour décrocher. Il reste à dire qu'il faut certainement répondre aux attentes des usagers en renforçant les navettes pour éviter ces situations stressantes.