Mostaganem semble se noyer dans la boue , par des détournement de terrains, des abus de pouvoir et des responsables qui versent dans le blocage du développement pour emboiter le pas au wali, des maires qui ignorent les simples bases de modes de gestion, des députés et sénateurs en instance de divorce avec leur ville et des médiateurs qui prospèrent dans les couloirs des directeurs et une société civile divisée sur fond d'intérêt personnels et la fameuse madame Dalida à la 4x4 utilise le pouvoir d'un fameux responsable qui fait encore parler de lui dans la gestion affreuse du foncier... l'heure est venue pour le wali de chasser les loups de sa wilaya ! Ainsi, la mafia du foncier vient d'y faire parler d'elle de manière sordide et bruyante, un scandale qui ne dit pas son nom et tout le monde en parle à Mostaganem. Est-il concevable de vouloir autoriser (secrètement) la réalisation de 49 villas promotionnelles sur un site retenu pour la réalisation des édifices publics et faire le forcing pour reconquérir des dossiers de terrains rejetés par le guichet unique ? Telle est la question à laquelle devront répondre en urgence les responsables concernés ? L'homme aux milles influences L'homme à la cigarette Marlboro, ou le responsable aux attitudes de Django, que tout le monde connait sans nécessité de citer son nom, qui a cru un moment qu'il pourra attraper le ciel avec sa main, continue de brader Mostaganem malgré son dernier recadrage par le premier responsable de la wilaya. Toute en induisant les responsables dans des divagations, utilise son pouvoir pour s'enrichir en faisant main basse sur les petits responsables sous ses ordres en influençant les entreprises, les institutions et les investisseurs que tout doit passer par lui et ne ménage aucun effort pour résoudre leurs problèmes, et par conséquence le ralentissement de l'exécution du programme de l'investissement public dont a bénéficié la wilaya de Mostaganem, pour ne pas dire ‘' à l'arrêt''. Tout a commencé quand il fouinait son nez dans les affaires de l'agence foncière devenue une ombrelle avec son directeur mettant le foncier en danger. Et depuis la validation de toutes les résolutions qui menottaient les responsables de l'agence foncière, rien n'arrête ce clan. Tout en mettant son plan diabolique en marche avec la complicité de certains directeurs, il tente de reprendre en main tous les dossiers fonciers rejetés par le guichet unique. Il y'a quelques semaines, on parle déjà du fameux dossier de permis de lotir de 04 lots de terrain à la route du port, introduits à la commission de recours de la Wilaya et qui auraient obtenus un avis favorable malgré l'objection des services de la DUC et de l'APC de Mostaganem. Bien sûr c'est madame Dalida qui fait la médiatrice entre les deux responsables concernés pour ne pas éveiller les soupçons. Ces jours -ci , une autre tentative est en train de se préparer pour passer le permis de lotir via un recours de 14 lots à Kharrouba , retenus sur le POS pour la réalisation des édifices publiques, une école primaire , une annexe pour la commune , un bureau des PTT et une sureté urbaine pour implanter à leur place un projet de 49 villas promotionnelles. Ce dossier a été également rejeté par le guichet unique de l'Apc dans le passé sauf que ceux qui se cachent derrière ce fameux projet des villas veulent à tout prix avoir un avis favorable de ce dossier. Et aux dernières nouvelles, une alerte a été donnée par la société civile par le biais des réseaux sociaux au wali pour stopper ce dossier. Et le danger guette toujours, cette partie de la cité Kharrouba (et particulièrement la cité des 544 lots), ou des prédateurs ont mis l'œil sur les 20 lots de terrains inoccupés, il y'a même à des terrains vacants à la cité Diar El Hana derrière le service de nettoiement de la commune , 2 lots terrains à la cité Guouaich (La remonte), un grand lot de terrain à la zone de Dépôt de sidi Benhaoua d'une superficie de1600 m2 que des sources indiquent qu'il a été squatté. Citer ses terrains est une forme d'invitation pour monsieur le wali pour les contrôler. Hadjadj ou l'autre république de Mostaganem Au grand dam du foncier de Mostaganem, la commune de Hadjadj et sa splendide plage attisent les dévastateurs, des lots de terrains promotionnels vendus par l'agence foncière à la somme de 3000 DA / m2, pour les amis et les amis des amis. Selon des documents officiels en notre possession, la dite-institution a vendu 41 lots de terrain promotionnels constructibles dans les régions de Hadjadj, Ain Sidi Cherif et Touahria au prix de 3 mille dinars le m2, alors que le prix moyen du terrain sur le marché de l'immobilier dans les zones rurales dépasse les 60 mille dinars. Le plus grave réside dans ce fait de situation de certains terrains qui se trouvent tout bonnement dans une zone touristique à Hadjadj-Plage, au-delà de leur vente pour la somme de 4 mille dinars le m2. Ceci sans oublier de citer qu'en plein centre-ville de la commune de Hadjadj, un terrain d'une superficie de 120 m2 a été légué à un particulier pour une somme de 48 milles dinars, c -a-d, à un dinar symbolique. Mais parlons des lots de terrains pour la construction des bungalows au niveau de la plage de Hadjadj, distribués pour les chefs et les sous-chefs et certains élus locaux avec la complicité des responsables de la commune, là c'est un autre scandale dont nous y reviendrons un autre jour avec plus de détails. Mais pour assouvir la curiosité de nos lecteurs, il suffit seulement de consulter le site leader immobilier ‘'Ouedkniss'' pour prendre une idée sur les annonces des terrains mis en vente au niveau de Hadjadj plage. Enfin, l'ouverture d'une enquête sécuritaire s'avère aujourd'hui plus qu'une obligation à propos de certaine attributions douteuse de lots de terrains pour préserver le foncier, ou du moins, ce qui reste !