Et voilà que ça recommence. Dans l'une de nos précédentes éditions, nous avions rapporté, photos à l'appui, l'état lamentable de l'emblème national suspendu sur le fronton de certaines institutions politiques dans la commune d'Ain-Nouissy. Comme nous avions appris par la suite que le premier chef de l'exécutif avait instruit tous les chefs de daïras en communication avec les directeurs de l'exécutif et des présidents des APC, quant à la conservation et la préservation de l'emblème national. Mais force est de constater que certaines structures ne respectent même plus cet élément porteur de la dignité nationale. La pose du drapeau national dans certains édifices publics et même de souveraineté et tout simplement dévalorisante un peu partout. A Mostaganem ville c'est la même image, celle d'un manque de respect à cette expression civique, que le peuple à porté spontanément aussi bien dans nos montagnes que dans nos villes, celui pour qui se sont sacrifiés nos martyrs. On prend le cas de la BEA en plein centre de la ville, le rectangle blanc du drapeau est déchiré, ainsi que sur le balcon de la direction des enfants des anciens moudjahidines (ONEM). Un emblème qu'ont doit se lamenter sur son état désagréable d'une part et le laisser aller sans remord pour l'honneur des martyrs qui ont sacrifié leur vie pour que vive cet emblème, unificateur et symbole de la souveraineté nationale. L'indifférence où plutôt le manque de civisme à fait le reste et ce sont d'autres établissements à caractère public qui arborent un emblème national aux couleurs qui déteignent et puis cède la place à la saleté ! Et à la pollution surtout ! même constat de désolation au niveau d'autres instances plutôt pire, les choses ont atteint un seuil d'inconscience tel qu'il n'est permis de voir flotter notre emblème national aussi sale comme on déplore une réalité pas toujours gaie lorsqu'on sait qu'il existe une commission de contrôle permanente à travers tout le territoire national pour l'entretien, de cet emblème. Cette dernière à été instituée, depuis 1998 sous la coupe du ministère de l'intérieur et des collectivités locales, comme le confirme une source responsable, ayant pour but de réglementer la pose du drapeau et d'en finir avec cette nonchalance criarde, constatée dans l'entretien de l'emblème national dans certains édifices publics. Un emblème derrière lequel, fit-il remarquer se sont rassemblés tous les patriotes à l'intérieur qu'a l'extérieur du territoire national pour que l'Algérie, vive éternellement. C'est lamentable d'en arriver à cette situation que certains inconscients puissent le réduire à un simple morceau d'étoffe.