Rien ne semble aller pour le mieux à l'APC d'Ain Turck. Un bras de fer entre le maire et les membres de son conseil se dresse depuis des jours et la situation demeure des plus farfelues et a fini par aboutir au rejet du budget supplémentaire d'un montant de 92 milliards de centimes, paralysant a jamais la réalisation de tant de projets. La municipalité de Ain Türck traverse une période des plus difficile à cause d 'un mouvement de protestation contre l 'actuel maire qui ne veut pas solliciter les membres de cette assemblée qui est composée de 19 membres dont 17 FLN et 02 RND , c'est dire que la situation se corse de plus en plus à l'APC de Ain El Türk .La situation est d'autant plus anecdotique que farfelue, puisque chaque partie de ce conflit accuse l'autre de «repli». D'abord les élus reprochent au maire de prendre des décisions unilatéralement et ce dernier déplore d'être abandonné par ses élus. C'est ce qui a été dit par le maire, lors de cette deuxième assemblée extraordinaire qui avait pour objet l'approbation du BS ( budget supplémentaire d'un montant de 92 milliards un chiffre qui n'a jamais existé depuis l'installation de cette municipalité balnéaire. Il faut dire qu'il n'y eu aucune tentative de réconciliation entre le maire et les membres de son exécutif, quoique la majorité des élus sont issus du parti FLN soit 17 membres élus et 02 membres du parti RND sur les 19 membres que comptent cette commune. Le budget supplémentaire n'a pas été approuvé par 12 membres,10 membres FLN et 02 membres RND a été rejeté en bloc par ces derniers pour le motif d'absence d'information des projets inscrits dans l'ordre du jour et dont le montant est très exorbitant de l'ordre de 92 milliards ,na pas fait l'objet de concertation avec l'ensemble des membres élus qui n'étaient même pas au courant de ces projets d'investissements pourtant inscrit dans les fiches techniques ,mais le P/APC a refusé pour leur communiquer l'utilité, et la consistance exacte de ces fameux projets qui ont fait l'objet de rejet pour des motifs valables ,selon la déclaration des 12 élus. L'exécutif demeure aux abonnés absents, et il «refuse de travailler dans ces conditions si les décisions ne sont prises en commun accord», nous dira un élu frondeur. Celui-ci souligne que «les autorités ont été mises au courant du problème». Les citoyens, eux, dont les revendications inhérentes à l'amélioration du cadre de vie ont été récemment acceptées, attendent à ce que les engagements soient traduits sur le terrain.